arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
samedi 06 juillet 2024 - 15h44rech / rep
--prost-02-captures3b-52@copie

--prost-02-captures3b-52@copie
(taille reelle)
Lucie ()
J’adore le corps de Lucie chez qui je vais satisfaire maintenant tous les mardis mes besoins amoureux. Cet après-midi là, je la rejoins dans sa chambre. Elle m'attends, assise sur son lit, dans une legere chemise de nuit de satin creme, ouvert sur ses belles poitrines rondes, lourdes et généreuses. Elle est delicieusement potelée, ses poitrines ont des mouvements erratiques terriblement excitants, des mamelles qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, de sucer, d’écraser au moment de la jouissance. Lucie me regarde affectueusement avec ses deux grands yeux bleus.
- Tu viens mon chéri ? me demande-t-elle en me fixant avec un sourire particulièrement gourmand.
Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses
- Tu sens ? ... je suis toute prête !
Lucie commence à deboutonner ma chemise, ouvrir mon pantalon. Je saisis alors Lucie et l’embrasse à pleine bouche. Nos corps sont maintenant quasiment nus, l'un contre l'autre. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je frotte mon gland contre son sexe. Elle gémit, je la pénètre d’un coup, lui arrachant un interminable Aaaaaah. Son ventre est tout chaud. Il m’enserre, me presse. Lucie est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme.
- Lucie, ma douce.
- Nicolas, Nicolas, mon chéri ! Pas trop vite ! Que nous puissions jouir ensemble !
Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. Elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille dans ses chairs, annoncent une jouissance proche, trop proche.
- Prends ton temps, tu dois faire monter le désir ... dans ton corps ... et dans le mien !
Je la pénètre plus lentement, elle pousse un long soupir de plaisir, je la regarde droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette. Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours à explorer le fond de ses entrailles. Je vois les prunelles bleues de Lucie s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres.
- C'est bien mon chou ! continue ! Tu me fais ça si bien !
- Tu sens mes petites contactions ? Tu es bien bans mon ventre ? Je te sens bien tu sais !
- Occupe toi de mes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds. Palpe les ... je sens que ca t'excite !
La vibration devient communion, nos deux corps ne font plus qu’un, nos chairs font fusion, nos fluides et nos odeurs se mélangent. Elle ondule de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides.
- Oh ! Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie.
Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus. Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie se met à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras de Lucie. Je n’avais jamais vu ça.
- Oh Lucie ! Je crois que je viens !
Il n'en faut pas plus pour que ce prodigieux spectacle déclenche chez moi une jouissance instantanée. Je n'en peux plus. Je me plante au fond d'elle ... Je me raidis, me crispe ... et ... je me vide dans son ventre en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent. Il y en a plein le lit
- Eh bien bravo mon Lou ! Qu'est-ce que tu m'as mis ! Il y en avait des litres !
Un duo de jouisseurs en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'un sur l'autre sur le futon, vidés de nos sécrétions, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Lucie qui a étalé les jambes sur moi. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes.