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samedi 06 juillet 2024 - 15h59rech / rep
mond-05-debl5a

mond-05-debl5a
(taille reelle)
eblouissante ()
Elle était éblouissante, des formes epoustouflantes, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Un chemisier blanc près du corps, une jupe noire moulante et courte. Elle me donnait des sueurs froides, vêtue d'un tailleur noir Chanel, un chemisier en mousseline de soie noire qui laissant percevoir la dentelle de ses dessous
La journée était avançée, nous avancions le long de cette rue déserte, elle n'arrêtait pas de me saisir par le bras et me chuchotait
- Ca va mon chéri ?
elle s'inquiétait pour moi ce qui me troublait de plus en plus. Elle me glissa à l'oreille:
- Allez, emmène moi mon amour !
Tania me prit par la main et ondula en me guidant sur le trottoir, elle s'enlaça autour de moi, son corps vint se blottir contre moi, sa poitrine s'écrasa contre mon torse, son bassin se plaqua au mien et elle ondula très lentement. Au gré de nos mouvements, sa cuisse s'intercalait doucement, puis plus précisément entre mes jambes. Mon sexe tendu comme un arc, déformait considérablement mon pantalon, elle ne pouvait pas ne pas le sentir. elle rejeta alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascula un peu plus vers l'avant, ses reins se creusaient.
- tu es bien avec moi ?
- oh oui !
- vas-y detends-toi bien, viens contre moi
- vous êtes plus belle que tout ce que je vois autour !
- Chut ! fit-elle en laissant ses doigts traîner langoureusement sur mes lèvres entrouvertes.
- fais-moi danser ! Serres toi bien contre moi !
La musique enchaîna sur un blues sensuel
- Colles bien ton bassin contre le mien et laisse moi te guider ... laisses-toi aller ... oui ! comme ça !
Sa main me plaqua les reins contre les siens, son corps tout entier était collé contre le mien,
son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre.
Je devenais rouge de confusion sentant mon désir me trahir tellement nous étions proches.
Tania ne semblait rien remarquer, sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes,
sa main me maintenait bien contre elle, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me parler en dansant.
Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre.
N'y tenant plus, Je saisis Tania à pleine main, en la pressant contre moi et en laissant glisser mes mains sur ses fesses rebondies.
Elle recula à peine son visage, me fixa l'air un peu interrogateur mais m'adressa un sourire sans équivoque.
Je caressais à présent Tania à travers le fin tissu de sa jupe,
ses fesses étaient rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus.
Je posai ma seconde main sur ses fesses et je commençai à la presser contre moi,
quand tout à coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin.
- C'est bien mon chéri, tu danses divinement bien, je te sens bien ... \"
J'entendis alors Tania gémir comme si elle prenait du plaisir à me masturber ainsi.
J'entrepris alors d'avancer mes mains sous ses fesses. Elle les souleva legerement,
je plaçais alors une main entre ses fesses, découvrant alors un sexe ruisselant de désir.
Tania se releva légèrement, se dégagea de moi
- Mais que fais-tu... \"
Je la plaquai alors énergiquement contre mon sexe.
- Non mon amour... soit sage !
Mais elle maintenait ses fesses ecartées, La résistance fut courte. Elle jouissait et gémissait de plaisir,
et soudain, d'un mouvement, elle glissa sa main dans mon pantalon et empoigna mon sexe,
- Oohh ... il est bien gros !
elle le plaça à l'entrée de sa vulve
- Serre-toi un peu plus, viens
et je sentis alors mon sexe litteralement aspiré en elle.
- Ooohh ...ouiiiii... tu es fort, il est enorme, dis-moi, je te sens bien ...
je sortis un peu mon sexe et, de nouveau, la pénétrai jusqu'à la garde, ses fesses s'offraient à moi.
Tania respirait fort, je voyais son dos se creuser, ses reins frémir à chaque poussée.
- Tu me rends folle ... mon tresor !
Scene incroyable, là, sous sa robe, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes
Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre
Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant
Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient,
je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir,
Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle.
Les autres danseurs ne voyaient rien, occupés qu'ils étaient à se serrer eux ausi.
Mon sexe continua encore et encore, tout doucement mais sûrement, son travail de sape,
ne pas se laisser aller, ne pas crier. je ne pus me retenir longtemps,
Elle me fixa un moment de maniere crispée et jouit devant moi en serrant les dents.
Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle en était encore pantelante.
J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées.
Nous restions un moment inertes, tetanisés
nous passions desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le \"désarrimage\".
pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle.
Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave !
- Rentrons chez moi !
Pendant que nous marchions dans la rue, je sentais son elixir melangé au mien couler le long de mes cuisses.
C'était un peu d'elle qui coulait là !
à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Je déboutonnai complètement sa robe.
Dessous, elle n'eut pas le temps de reajuster son soutien-gorge.
Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses tétons,
j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas, je faisais glisser le slip.
Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse.
Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux.
Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle
nous fîmes l'amour comme des bêtes.
Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle.
Nous avons fait l'amour toute la nuit