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samedi 06 juillet 2024 - 15h40rech / rep
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En ouvrant l'armoire de Tante Jeanne, je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des rangées complètes de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge, des bas, des collants : une affolante combinaison noire encore chaude de son corps, elle sentait bon, c'était chaud, c'était doux ! un soutien-gorge rose, deux culottes blanches en nylon, très douces. Tout cela n'arrangeait pas mon état. soutiens-gorge adorables, petites culottes blanches, noires, rouges, fantaisie des culottes en nylon presque transparent. douces au contact. des combinaisons. une vingtaine, souvent des nouvelles.
Je pris la combinaison noire encore tiède de Tatie. Je respirai ses effluves et me caressai avec. J'ai passé un moment merveilleux avec la douce lingerie de tatie en profitant de la douceur du nylon sur ma queue tendue, de la sensation unique des fines bretelles sur mes épaules. Puis j'enlevai la combinaison et enveloppai ma bourse et mon sexe dans le tissu chaud. Quelle sensation merveilleuse ! Je serrai mon paquet bien fort, fermai les yeux et imaginai les images de ma tante dans sa jolie combinaison. je sentis mon sperme bouillonner dans mes couilles, remonter en gonflant ma hampe et jaillir avec une force inouïe dans le doux nylon. Je mis de longues minutes à me remettre de cette jouissance.

C'est à ce moment qu'elle me surprit. Apres m'avoir observé un moment, elle se dirigea vers moi, prit ma main et m'entraîna dans sa chambre. Elle ôta son peignoir et se retrouva en combinaison rose, délicatement, elle dégagea les bretelles de ses épaules. Le fin tissu glissa doucement le long de son corps et s'étala en corolle à ses pieds. Elle portait un soutien-gorge mauve. Elle passa les mains dans son dos, le dégrafa et l'enleva en tenant ses seins. Elle caressa lentement le dessous des seins, puis se pencha pour descendre sa culotte. elle n'avait plus dessous ni culotte ni soutien-gorge.
Puis elle vint vers moi et serra son corps contre le mien, passa une jambe entre les miennes, entourant ma cuisse du velouté de sa combinaison. Elle écrasa ses seins pointus sur mon ventre et ne bougea plus. des seins dont on ne voyait que les pointes qui dépassaient de la dentelle. J'étais fou. Elle me regardait en souriant.
- Bon, alors, tu comptes me regarder longtemps ?
Je commençai à passer mes mains sur ce corps offert, tenant entre mes doigts les pointes en saillie et elle appréciait en gémissant doucement.
- Je vais m'occuper de toi mon ange ... Allonge-toi et laisse-moi faire.
sa langue vint violer ma bouche et s'enroula doucement avec la mienne. Elle lécha tendrement mon ventre qui frémissait. Ses mains jouaient avec mes cheveux ou caressaient mes joues. Mon sexe reprit du volume.

Elle se mit à genoux et, tout en me regardant, se saisit de ma verge bien bandée. je me mis à tripoter es seins à travers la dentelle. Sans attendre, elle prit mon mat et commença un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était le paradis. Je sentis mon corps se tendre, ma respiration s'arrêter et, tout d'un coup, la délivrance. Le feu partit de mes bourses, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes Elle attendit la fin de mes soubresauts, et vint s'allonger près de moi et m'embrassa violemment.
Elle était là, m'embrassait tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. Elle me regarda.

Sans un mot, elle me poussa sur le lit ouvert et me couvrit de son corps. Ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément.
- Vas-y mon cheri, je suis à toi !
D'un seul doigt, je glissai sur ses lèvres, son menton, son cou, sa gorge, entre ses seins dont j'apercevais les pointes brunes à travers la dentelle fine du soutien-gorge, puis le ventre plat, le nombril et enfin le bord de l'élastique de son jupon, ses hanches. Je refis plusieurs fois le chemin, sa peau tressaillait et elle gémissait doucement. Je remplaçai mon doigt par ma main, qu'elle saisit pour la porter sur son sein.
- Il est doux, hein ? Il te plaît ? Il faut le caresser doucement, la pointe est très sensible.
- Attends ! je vais enlever mon soutien-gorge
Elle se releva et dégrafa le soutien-gorge. Puis elle me deshabilla lentement elle se rallongea sur le dos et je continuai mon exploration. Ses seins étaient tendus par le désir.
- Tète-moi, mon ange !
Je me penchai vers sa poitrine et pris un téton entre mes lèvres. Puis, de la langue, j'entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l'autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l'un à l'autre pendant de longues minutes, sans qu'elle se lasse.
- Tu es adorable ! Mais maintenant, j'ai envie d'autre chose !
Elle me prit dans ses bras, m'embrassa. Je passai ma main sur son ventre et je m'aventurai jusqu'à sa touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai ses poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Elle murmura :
- C'est bon, continue. Descends un peu, tu es doux.
Et je sentis soudain une peau douce, humide, gonflée qui s'ouvrit comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt fut comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonça entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Elle glissa alors sa main entre nos deux corps, réussit à saisir mon sexe et commença un lent massage de bas en haut.
Tandis que nous échangions ces caresses, elle vint au-devant de ma main, Elle se pressa contre elle mes deux doigts rencontrèrent alors le clitoris en haut sa vulve inondée. Ses yeux s'écarquillèrent, sa peau devint fiévreuse, elle arqua le dos pour se coller à moi. Elle prit ma main libre dans la sienne et la serra contre son sein. Puis renversant la tête en arrière, elle poussa un cri, la bouche grande ouverte. Elle se serra alors contre moi et je sentis quelques larmes qui coulaient sur sa joue. je continuai de la caresser, elle était complètement inondée. Elle me lanca un regard suppliant
- Viens, je te veux en moi !
Elle écarta les cuisses et Je me couchai sur elle. Elle prit mon sexe, le pointa à l'entrée de sa vulve, Elle noua ses chevilles dans mes reins et propulsa mon sexe en elle Nous sommes restés un moment à savourer cet instant.
- Viens, enfonce-toi loin !
Et je commençai des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s'accrochait à mon cou, m'embrassait furieusement, sa langue était de feu. elle triturait un sein et m'agrippait par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses étaient brûlantes et detrempées. Je sentais la mouille qui s'écoulait contre mes bourses chaque fois que celle-ci s'enfonçait. Je voulais atteindre le cœur de la fournaise. Je la sentis qui s'ouvrait et qui m'aspirait dans son puits sans fond.
- Viens, c'est bon ! Vide-toi, n'aie pas peur, mon cheri ! je veux ton sperme, tout ton sperme !
Je me sentis devenir incandescent, j'accélérai la cadence et la force de mes poussées. J'avais l'impression de tomber, je fermais les yeux, je m'abandonnais sur son corps, je sentais ses seins gonfler contre moi, elle me berçait sur elle, déposait mille baisers sur mon visage. J'étais sur une immense vague, le flot m'emporta, m'engloutit, je criai, elle aussi !
- Oui ! Oh, que c'est bon !
Je me suis vidé. Quand j'ouvris les yeux, je vis le visage défait de Malou qui me regardait. Nos yeux étaient embués, nos corps étaient collés par la transpiration, nous sommes restés longtemps accouplés, immobiles. La sensation du retrait de mon sexe me chagrina, je ne voulais pas la quitter. Elle me prit dans ses bras et me berça doucement.


Mon corps pour vous se fait soyeux, De votre sexe faites moi douceur,
qu'il caresse, glisse, se fasse onctueux pour mieux remonter ma chair.
qu'il m'explore, remonte, s'immisce dans mes tendres muqueuses
qu'il m'explore plus loin, se faufile, me pénètre.
Qu'il se perde au fin fond de mon ventre, qu'il goute mon parfum de femme.

Je vous sens si fort, si fougueux ... Oh oui ... je vous sens bien !
Je suis toute à vous ! Je suis prête ! ... Venez ! Vite !
Oui !!! ... L'orgasme est enfin là, merveilleux, en partage total.
Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté.
Cris étouffés, humidité abondante, majestueuse

c'est si bon ! Vous me faites du bien ! Non ! Restez !
Je veux garder dans ma chair un souvenir de vous !
Vous êtes venu en moi comme un arbre vivant
qui a fleuri dans ma chair, s'est épanoui en mes veines
et votre sève coule en longs flots continus

Ces moments sont trop brefs pour mon corps inassouvi
Une fois encore je demeure vacante,
gardant entre mes cuisses votre doux secret
Votre visage aux yeux clos me renvoie l'image de ma joie
Je vous aime encore, mon corps reste chaud de vous,

vous m'avez donné votre sève, c'est par vous que je renais au monde
Monsieur, Je ne connais pas votre nom...