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samedi 06 juillet 2024 - 15h35rech / rep
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(taille reelle)
Au bout de ce salon immense ... elle ... seule... ()
Il y a ce salon immense. Tous ces invités que je ne connais pas. Et en face de moi, de l'autre côté de la pièce... Elle ... seule... enveloppée dans la lumière tamisée qui semble la caresser. Nos regards qui se télescopent ... L'explosion d'un désir. En une seconde, ce sentiment violent,reciproque, qui traverse l'espace. il n'y a plus personne il y a deux corps, deux désirs ... Temps suspendu ... Elle croise les jambes. longue robe de soie noire fendue qui laisse entrevoir de somptueuses cuisses. Ses longs cheveux noirs sont retenus avec art. Son regard projette plus de désir que mes yeux ne peuvent en recevoir. Grâce et perversion... Eclat impudique du désir... Et ce magnetisme entre nos deux corps, de plus en plus fort attirance violente, sensuelle... et ses yeux dans les miens, Jeu subtil de deux regards, de deux desirs ... se capter l'un l'autre, la faire succomber. plus séduisante encore ... Elle me provoque avec un art consommé de petits gestes discrets, divinement sensuels.

Elle écarte un peu plus sa jambe, dévoile la splendide nudité d'une cuisse somptueuse ... Je m'approche un peu plus. Je l'aborde. J'ai les mains moites, les jambes dans du coton. Odeur de parfum, parfum de femme, voix délicatement posée. Je sens son regard planté dans mes yeux. Moment intense. Attirance quasi magnétique de deux corps qui se veulent, qui se rapprochent irrésistiblement. Immobile violence. Elle est toute proche. Je devine sa respiration précipitée.... Son souffle m'appelle. Mon corps tout entier la réclame. Nos visages se rapprochent, nos lèvres se frôlent et, comme au ralenti, mes yeux se mêlent aux siens. A petits pas, le premier, j'ose l'insensé ... l'inviter à me suivre

Je me dirige vers le long couloir en lui lançant quelques regards.... Elle me suit. J'ouvre une porte, je m'abrite derriere, à l'écart. Je me retourne .... et là, dans la penombre, elle est là. Nos corps se rapprochent, se trouvent, enfin ...coincés, cachés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, elle m'embrasse, éperdument .... je suis ivre, je tremble. Je brûle. Elle me caresse la nuque. Je lui lèche le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Je glisse ma main entre la soie et la peau... j'enfonce mes doigts ... elle halète dans mon oreille. Tout son corps se tend vers ma main qui l'empoigne. J'entends le frottement de la soie sur ses cuisses...Je ferme les yeux. Le temps s'arrête. Mes mains jouent dans ses cheveux. Elle esquisse un sourire. Elle glisse les mains sous ma ceinture, me caresse, me fait durcir encore ... j'ai envie de son ventre. Je l'attire vers moi, Elle m'entoure la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou...
Je la pénètre très doucement, profondemment, très longtemps... le plaisir est si fort. sa bouche est entrouverte, collée à la mienne, elle me lèche avec lenteur, me mordille les lèvres. Je la colle contre le mur .... et je m'enfonce à nouveau dans sa chair. Elle se laisse embrasser partout ...
sa tête bascule sur le côté, se blottit contre mon épaule...Nous sommes unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sors, je rentre, je coulisse en elle ...elle respire plus vite. Elle s'agrippe, elle suffoque, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sens sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Je m'enfonce à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémissent. En elle bouillonne le plaisir. Elle glisse ses mains sous ma chemise et caresse mon dos, mon torse. J'ai du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur.

Elle guide mon sexe d'une main experte. Je ferme les yeux ... Mes mains caressent les cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accroche à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquent, ma tête tourne. La chaleur monte en moi comme une sève brûlante. Je me sens basculer. Elle râle de plus en plus. Elle se retient .... juste un ouiii ! qui meurt doucement au fond de mon oreille qu'elle taquine avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochent à ses chairs rondes. Elle me lèche les lèvres, les yeux, puis m'embrasse fougueusement. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Je regarde son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donne, encore et encore. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondule du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dure ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'allonge sur mon torse. Je caresse ses cheveux ... Sourires échangés.

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