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samedi 05 octobre 2024 - 09h21rech / rep
---mat-00-a3-09@ adlt3

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(taille reelle)
Nous étions proches, trop proches ()
Je lui avais permis de venir le soir me souhaiter bonne nuit alors que j'étais déjà en chemise de nuit dans mon lit. Une simple visite de courtoisie chaleureuse. Sa présence néanmoins me troublait d'une sensation étrange. Je le savais. Nous étions proches l'un de l'autre, trop proches. Il me caressait le corps, les seins au travers de la soie de ma lingerie, puis j'ai senti à un moment sa main chaude qui commençait à remonter sous le tissu et me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur les genoux, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve.
- Julien ... Tu es en train de toucher des parties intimes, tu sais !
En fait, c'est de ce contact direct dont j'avais besoin, je n'osais me l'avouer. Il avait touché un point sensible. C'était vraiment bon. Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de ma culotte de soie, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts pénétrait mon intimité.
- Julien, que fais-tu ? ... est-ce vraiment raisonnable ?
Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commençais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps,
Mais, quand j'ai senti le contact de son sexe bandé sur mes grandes lèvres, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais .... C'est alors qu'il commença à me pénétrer.
- juste un peu ! S'il te plait ! j'ai juste besoin de me sentir en toi ...
et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi, il ne s’arrêtait pas !
- Julien ! Que fais-tu ? s'il te plaît ! arrête, je t'en supplie,
J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son sexe grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression. Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à l'accompagner au fur et à mesure de sa pénétration. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir en l'accompagnant malgré moi pendant qu'il me conduisait au plaisir. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement son énorme queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble. J'ai recommencé à protester du bout des lèvres, mais, quand j'ai senti son énorme sexe pousser encore plus loin, je ne pus me retenir plus longtemps. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute cette soiree,
Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que sa tige massive coulissait puissamment dans ma fente humide. J'étais remplie de son sexe qui coulissait au fond de moi. j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. Il râlait de plus en plus fort au dessus-de moi, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi.
C'est alors que je l'ai senti .... La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant, j'ai senti l'extrémité de son gland au fin fond de mon ventre. Il a gémi très fort un "Aaaahhh !!!" sonore
et ... a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses.
- Oh Julien ! Mon Dieu ... je...ton..sperme... tu me remplis .... tu m'envahis ....
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je sentais déjà le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi.
- Julien ! Qu'avons nous fait ?
Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes: son sexe était encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes seins.
Je sentis que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs.
Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma chemise de nuit était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Julien s'était endormi sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre.