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samedi 06 juillet 2024 - 16h10rech / rep
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(taille reelle)
douce nature ()
Tout s'est passé très vite, j'étais soûle de vent, nous nous étions allongé dans l'herbe fraiche, moi sur lui à califourchon, je voyais dans ses yeux le mouvement des nuages. Je m'agrippais à sa taille. Je ne l'entendais plus, je voyais le mouvement de ses lèvres, de sa bouche, de ses doigts qui désignaient l'horizon. Je l'ai interrompu en plaquant mes lèvres sur les siennes, ma langue chaude s'est enfouie dans sa bouche, un feu me ravageait l'intérieur, j'ai passé mes doigts sous ses vêtements, sur la peau de ses flancs. Je l'ai vu frissonner, il m'a devinée ... J'ai relevé ma robe et je me suis empalée sur son mat, indécent de vigueur, me laissant pénétrer avec délice. Il entrait en moi, ses mains sur mes seins chauds, j'ai mordu son cou et ma salive s'est glissée sur sa peau. A l’abri des buttes et des taillis, nos corps se mêlerent. Mon étui chaud et humide absorbait goulument sa verge, l'engloutissait et la brûlait. Je m'empalais sur lui, doucement, interminablement, je ralentissais ma descente, la reprenais. Cette lente pénétration affolait nos sens. Je m’offrais à son plaisir, à mon plaisir, sensation délicieuse, affolante. Il était en moi, et plus rien ne comptait.

Pendant quelques secondes nous restions immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre. Je lui souriais et me penchais vers ses lèvres, savourant mes propres sensations comme les siennes. Mes moiteurs intimes enveloppait son sexe. J'enveloppais son mat de mon ventre brûlant. Je me soulèvais un peu et coulissais à nouveau, les yeux à moitié fermés, Je m'agitais, m'empalais un peu plus, sur son sexe qui se tendait et s'allongeait dans mes chairs. Je me frottais, me soulèvais, redescendais, ondulais, pénétrations puissantes. De mes muqueuses, je le suçais, l’aspirais, le tirais, le poussais, m'appliquais, en jouant de son corps pour qu'il puisse mieux venir se perdre au plus profond de moi. Mes seins lourds et mobiles se mirent à ballotter librement sous mon corsage entrouvert. Il les empoigna et les palpa de ses deux mains, puis serra mes deux fesses pour bien se planter au fond de moi. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Je m’empalais maintenant de façon sauvage, puis désordonnée, le suppliant de jouir vite en moi.

Une ultime envolée, nous touchions aux nuages, j'avalais ses cris, mêlés d'agonisantes plaintes, nos corps furent agités par de violents frissons, Nous nous contrôlions plus ... il se lâcha et se rependit, jaillissante osmose, en une vive et abondante apothéose, comme foudroyé au sein du ciel bleu. Je m’effondrais sur lui en le couvrant de baisers. Après une ultime convulsion, nos corps se relacherent, épuisés, ne formant plus qu’un seul être.


Sa main caresse mon corps comme un courant d’air chaud, doux, envoutant, m'effleure doucement, tandis qu'il plonge son regard dans le mien, et me sourit. Je suis prête ! Je me donne à lui, peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. Je m'ouvre, tendre et humide ! Doucement, il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Je lui offre mes douces caresses intimes, il est bien, je suis bien. Une éternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspire, je l’absorbe. son souffle est lent. Plus il m'investit, plus il est long et profond. Il me pénètre doucement, tendrement, reste un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. ses mouvements sont plus amples, sa fierté plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. Je lui fais découvrir les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, il se sent aspiré, absorbé par mon corps. La douce excitation devient un désir plus ardent, il s'inquiète de mon état,
- Tu es bien ?
- Oh oui... j'aime !
Je ferme les yeux, je m'offre à lui, la bouche entrouverte, tout mon corps jouit. Je suis maintenant offerte, chaude, et douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, je sens son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore...
Il oscille en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avale, l'absorbe, je digere ma proie. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge est sèche. Il esquisse une grimace, j'incline mon bassin pour qu'il aille plus au fond. Il s'active dans ma chair, fou d’un désir que je ne connais pas, il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, je me mordille les levres. Doucement le rythme s'accélère. Il s'agrippe à mes épaules, reprend ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Nos regards se soudent l'un à l'autre, je suis prise de vertige la transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son corps glissant dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Puis il s'arrete net. Je le sens venir, il crispe son regard .....
- Tu veux que je me retire ?
- Non ! Donne moi toute ta sève ! Je veux garder ton empreinte au fond de mon ventre
Je le tire à moi. Il vient. Le voici ! Un flot de vie me remplit. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Puis Il s'effondre avec des grondements d'ours blessé. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.