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samedi 06 juillet 2024 - 15h43rech / rep
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(taille reelle)
Je m'appelle Frank - Et moi Lætitia. ()
- Je m'appelle Frank.
- Moi c'est Lætitia.
Ils s'étaient serrés davantage l'un contre l'autre, bras autour de la taille, mains sur les hanches … A la troisième danse, ils étaient corps à corps. A travers les fins tissus de son corsage et de sa chemise, il sentait la pointe de ses seins contre son torse; et la hanche de Lætitia qui roulait contre un relief explicite. Elle avait posé sa tête sur son épaule… Alors, il s'était penché vers son oreille et avait murmuré :
- Laetitia ... tu me troubles !
- Je le sens bien ! … Serre toi contre moi !
- Approche ton oreille ... et écoute-moi ! …
- Je t'écoute !
- Frank ... Je mouille à cause de toi !
Elle tire presque violemment Frank, referme la porte derrière lui, met ses deux bras autour de son cou, s'y suspend et entoure ses hanches de ses deux jambes… Et elle colle ses lèvres aux siennes. Il accueille volontiers ce baiser, passe un bras autour de son corps et glisse l'autre main sous ses fesses, ouvertes, chaudes, humides … Facilement, deux doigts s'y introduisent… La belle se raidit avec un profond soupir de satisfaction…
- Déshabille-toi ! Vite !
Et elle entreprend de lui déboutonner sa chemise. Frank rit de tant d'impatience… Il ouvre son pantalon qui tombe à ses pieds et bientôt il se trouve lui aussi entièrement nu, son attribut enfin libéré et fièrement dressé contre le ventre de la belle. Il veut reprendre Lætitia dans ses bras, la caresser à pleine main, la lécher, la sucer, il veut frotter son corps contre le sien et réciproquement, il veut reprendre ses lèvres contre les siennes… Mais elle le repousse…
- Non ! Viens…
Elle l'entraîne vers le canapé où elle se laisse tomber, jambes grandes ouvertes…
- Viens ! Je veux que tu viennes ... là ! … Vite ! J'ai faim !
Alors il se positionne entre les deux jambes, s'allonge sur ce beau corps feminin qui l'attend en se tenant dressé sur ses coudes. Sans aucune difficulté, il trouve sa voie et doucement, sans à-coup, la pénètre en entier, jusqu'à la racine. Tous deux se crispent et poussent un profond soupir, un râle même, de profonde béatitude… Puis ils restent parfaitement immobiles chacun goûtant ses sensations : Lætitia se sentant remplie par cette verge dure, épaisse, longue, écartant ses chairs, l'habitant toute entière bien au-delà de son ventre ; Frank sentant chaque millimètre carré de son sexe englouti, caressé par les douces muqueuses… Chacun se sent envahi par une sorte de vertige, une irradiation qui va de la pointe des orteils jusqu'à la pointe des cheveux…
Et soudain la tempête ! Les corps se fondent l'un dans l'autre, les mouvements se font presque violents. Elle serre ses cuisses contre ce corps d'homme qui la couvre, remonte ses pieds qui donnent des coups aux fesses. Il s'enfonce encore plus, glisse une main sous le corps de la femme, l'autre sur ses fesses… Chacun attentif à cette tension profonde qui monte jusqu'à ce qu'ils ne peuvent plus rien maîtriser. Et c'est l'explosion. Jaillissements. Mélange de sperme et de cyprine. Halètement profond, petits cris, ongles qui pénètrent les chairs de l'autre. L'extase dure longtemps. Extrême jouissance, profond orgasme, plaisir violent…
Et c'est le relâchement. Les muscles bandés se détendent, le souffle redevint normal… Ils ouvrent les yeux. Se regardent intensément. Se sourient. Les lèvres se joignent. Profond baiser, danse des langues unies…
Ils roulent sur le côté, toujours profondément soudés l'un dans l'autre. Et enfin, la violence du désir apaisée, ils peuvent se caresser avec tendresse, découvrir leurs corps du bout des doigts… le cou, les seins, les bras, le torse, les fesses, les cuisses… Ils se picorent le visage de mille petits baisers, restent silencieux ébahis de la beauté de la nudité de l'autre, de la puissance ou de la finesse, de la douceur de la peau, du bonheur qu'ils offrent et reçoivent…
C'est Lætitia qui émerge la première. Doucement, elle se redresse, se lève… De la paume de la main, elle essuie la liqueur qui s'écoule le long de ses cuisses et l'étale sur son corps … et ils éclatent d'un rire joyeux et satisfait.