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samedi 06 juillet 2024 - 16h05rech / rep
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(taille reelle)
Marine ()
Marine est là, avec moi dans le lit, sa poitrine frôle délicieusement mon bras, elle sent bon, sa peau est chaude, ferme et lisse. le dos appuyé au mur, les jambes legerement écartées. Mon imagination s'envole. Elle se contorsionne légèrement pour mettre son corps à moitié nu en valeur, déclenchant en moi un flot d'adrénaline. M'avançant d'un pas, je pose le bout des doigts sur un de ses seins, effleurant à peine sa peau. Elle a comme un sursaut, Elle ferme légèrement les yeux, gonfle encore sa poitrine, la tend de quelques millimètres pour la rapprocher de mes doigts. Je la complimente:
- ils sont beaux, tu sais !
- tu trouves ? redis le moi !
Enhardi, je pose doucement ma main sur sa poitrine, et la caresse légèrement. Elle ne fait pas un geste. Ma caresse se précise, mes doigts appuient sur sa peau, emprisonnant un sein dans ma main, frôlant un téton. Tous mes sens sont en alerte, j'ai chaud au bas-ventre, Mon autre main rejoint la première, enroulant mes doigts autour d'un globe chaud, ferme et affolant. Marine se cambre. Nos corps se frôlent et se sentent sans se toucher. Une touche de plaisir se dessine sur son visage.
- C'est agréable ce que tu me fais, tu sais. C'est bon...
D'un geste assuré, elle se retourne et se blottit le dos contre moi.
- fais moi encore des choses gentilles.
Mes caresses se font plus pressantes, une de mes mains descend vers son ventre, caresse ses flancs. Ses muscles sont tendus, elle se contracte un peu plus, ses fesses pressent sur mon sexe gonflé. Fermant les yeux, elle oscille, frottant ses fesses contre mon membre. Je bande de plus en plus, ma verge répond à ses frottements par des mouvements incontrôlables qui accentuent encore le contact brûlant de son corps. Elle appuie encore un peu plus ses fesses contre moi, et ses mains caressent mes cuisses, m'invitant à continuer. De ses lèvres s'échappe un faible murmure inintelligible.
-Mmmmhh ...
Je laisse une de mes mains descendre jusqu'à son bas ventre, j'en caresse le tissu. Marine suspend ses mouvements, sa bouche s'entrouvre sans qu'un son en sorte. Un moment d'extase muette pendant lequel elle découvre les sensations nouvelles de mes caresses à travers le tissu. Elle reprend les mouvements de son bassin, en harmonie avec ceux de ma main, pour en augmenter les effets. Ma main remonte légèrement, pour redescendre aussitôt, mes doigts passent à l'intérieur de son slip.
- Que fais-tu ? Mmmmh ! c'est pas bien ! ... mais continue quand meme !
Ils continuent à descendre contre sa peau nue. Le visage de Marine est brillant et illuminé. Mes doigts rencontrent sa toison légère et douce. J'explore cette petite fourrure qui m'électrise. Marine hoquette, se cambre, ouvre démesurément la bouche à la recherche du souffle qui lui manque. Son ventre a le même mouvement de contraction que je ressens sous mes doigts. Elle commence à haleter doucement, laissant le plaisir l'envahir. Mes doigts atteignent enfin le sexe et touchent ses grandes lèvres, brûlantes et gonflées par l'attente de caresses plus précises. Mes doigts vont et viennent sur elles, puis le long de la fente qui les sépare et que je sens s'ouvrir. A nouveau, Marine a cessé de bouger, toute à l'attente et la découverte de ces sensations. Elle continue à haleter, sa poitrine se soulevant à un rythme de plus en plus rapide. Elle sent son plaisir. Marine mouille. Mes doigts effleurent un bourgeon naissant, arrachant un nouveau hoquet à Marine dont la plaisir augmente encore.
- tu sais t'y prendre avec les femmes !
Elle avance sa main derriere elle, avec des mouvements un peu désordonnés. Ses doigts caressent légèrement mon sexe à travers mon pantalon, en évaluent le volume, mais elle n'ose pas franchir le barrage du tissu. Sous sa caresse, une décharge électrique me secoue, un moment je me demande si je ne vais pas jouir immédiatement. En reponse, ma main se crispe sur son sexe, pousse son exploration, un de mes doigts glisse entre ses grandes lèvres toutes lubrifiées. Marine geint tout doucement quand mon doigt effleure son clitoris, le plaisir se lit distinctement sur son visage. Marine reprends l'initiative: elle defait rapidement la ceinture de mon pantalon, elle saisit mon membre et le libere de son carcan de tissu. Sa main se referme sur mon membre durci, une véritable décharge électrique me parcourt, et pour la deuxième fois, j'ai du mal à me retenir de ne pas jouir prématurément. Délicatement, elle explore les contours de mon membre, Je me cambre violemment et laisse à mon tour échapper un grognement de plaisir. Enchantée de sa découverte, elle monte et descend sa main fermée autour de ma bite, en une masturbation douce et caressante.
- Tu sais, souffle-t-elle soudain, c'est la première fois que je fais ça à un homme !
- Mais tu fais ça très bien, tu peux pas savoir comme c'est bon !
Elle lâche alors un instant mon sexe agité de palpitations, et tire mon pantalon vers le bas, le laissant tomber à mes pieds. Je suis nu entre ses jambes ouvertes. Elle reprend mon sexe dans sa main, pendant que son autre main part à la découverte de mes testicules. Ma verge palpite dans sa main et lui indique au fur et à mesure le plaisir qu'elle me fait ressentir, elle module ses caresses pour me faire vibrer et soupirer le plus possible. Impatient, un de mes doigts se glisse un peu plus encore dans sa fente et commence à la pénétrer doucement. Ses mains quittent mon ventre et se posent sur mon bras, arrêtant une seconde mon geste, puis aussitôt l'encouragent, elle halète en rythme, ses jambes sont largement écartées pour mieux s'offrir. Profitant de ses yeux fermés, mon regard se pose sur son sexe que mon doigt ouvre et ferme, au-dessous d'une courte toison blonde. Son clitoris est maintenant sorti de sa corolle, et pendant que mon index va et vient en elle, mon pouce le lui caresse en même temps. Je saisis l'elastique de son slip pour le faire descendre. Elle me facilite la tache en se dehanchant, je lui ôte son slip, le blanc de son ventre et de ses seins la rendant à hurler de désir. Je reprends aussitôt ma caresse envahissante sur sa vulve. Elle se laisse complètement guider par le plaisir qu'elle ressent, libérée de toute inhibition, elle accompagne mes doigts avec des mouvements du bassin sans plus aucune retenue. Son plaisir coule sur mes doigts.

Je n'y tiens plus, sans cesser ma caresse, mon autre main guide mon gland vers elle. Le bout de mon sexe gonflé à éclater commence à presser sur sa vulve trempée, elle se cambre, retournant son visage vers moi et me supplie dans un murmure :
- oh oui ... viens dans mon ventre...
Je la pénètre lentement, doucement, profitant totalement de mon plaisir, de la sensation de ma verge qui écarte les parois de son vagin, lisant en même temps la progression de ses sensations sur son visage. Elle est comme extasiée, les jambes écartelées, le ventre offert s'ouvrant et appelant ma pénétration. Lui enfiler la longueur de mon sexe me semble durer des heures comme s'il était immense et son ventre insondable. Ma verge palpite en la pénétrant, nous retenons notre respiration jusqu'au moment où toute la longueur de mon sexe l'a pénétrée, et nous expirons chacun avec un gémissement de plaisir et de contentement. Je reste enfoncé en elle et elle reste arc-boutée contre moi. Ivres de plaisir nous sommes immobiles, respirant doucement notre plaisir et celui de l'autre. Marine frissonne doucement, se préparant à un nouveau torrent de plaisir.
- Oh ! Que c'est bon ! ...
Cet extraordinaire sommet de plaisir se prolonge. Je la regarde, elle est à la fois tendue et épanouie, ses yeux sont à peine entrouverts mais son regard est perdu on ne sait où, ses lèvres gonflées laissent échapper une respiration rapide et profonde. Ses seins sont tendus tels des obus. Son ventre se soulève régulièrement au rythme de sa respiration. Mon penis est profondément ancrée au fond de son ventre brûlant et humide qui m'enserre délicatement. Nos deux corps nus sont imbriqués l'un vers l'autre, chacun à l'affût de son propre plaisir et de celui de l'autre. Je bande terriblement fort, envahissant totalement le sexe de Marine. Tout doucement, je tente de me retirer d'elle. Elle me rattrape pour me retenir. Je m'enfonce à nouveau en elle, un peu plus profond encore, elle se cambre. Une ou deux fois encore, je sors un peu d'elle et je rentre, la jouissance s'épanouit sur sa figure. Je commence des mouvements plus amples et d'instinct Marine devine mes propres mouvements pour m'accompagner. Elle respire de plus en plus fort et va maintenant au devant de mon sexe, elle s'empale dessus lorsque je tarde à la pénétrer. Elle gémit sans retenue. Elle guide mon mouvement en elle à son rythme qu'elle découvre en même temps. Je la laisse monter vers un orgasme qui se devine à travers le son plus rauque de son souffle, à la crispation de ses mains, au va et vient de son ventre, aux palpitations de son vagin. Soudain tétanisée, elle ne parvient même plus à me guider. Les yeux écarquillés, elle crie son plaisir alors que l'orgasme la submerge. Sa jouissance déclenche la mienne.
Je plante alors ma verge au plus profond de son vagin et de puissants jets de sperme inondent son ventre, brûlants et interminables. Elle ressent chaque jet, me répond chaque fois par une palpitation incontrôlée de son vagin. Un feu d'artifice m'aveugle et doucement j'arrête de la pilonner, je suis vidé. Nous restons immobiles quelques instants, son sexe paraît serrer le mien encore raide dans son ventre. Je profite de mon plaisir immense, de ses yeux pleins de bonheur, de son visage épanoui par l'orgasme,
- \"Tu sais que je te sens encore dans mon ventre ? Ce que tu es gros et dur ! c'est fou, ça m'a envahie !\"
Délicatement je sors mon membre de son délicat fourreau. Marine a un mouvement pour suivre le mien et me conserver en elle, mais je m'en extrais pourtant complètement dans un agreable bruit se succion. elle assimile peu à peu toute le plaisir qu'elle vient d'éprouver. Elle se retourne et me sourit de toutes ses dents, de tous ses yeux, de tout son corps.
- \"Alors c'était tout ça ? C'est extraordinaire, c'est fantastique... Hummmm ce que c'est bon !\"
Ses bras m'enlacent et elle me serre contre elle tout son corps rivé au mien, même. Écartant légèrement son visage, elle colle ses lèvres aux miennes et me roule le patin le plus tendre et le plus passionné, si doux et si bon que je sens mon sexe se raidir à nouveau. Elle pose sa tête dans le creux de mon cou, un câlin attendrissant qui me fait fondre mais certainement pas débander...
- \"C'est merveilleux de faire l'amour,\" me chuchote-t-elle dans l'oreille,
- \"il faudra qu'on refasse l'amour ensemble encore, c'est bon, j'aime ça très fort. Tu me referas l'amour, dis ?
- Bien sûr ! Et si tu veux encore, quand tu voudras ! Tu es adorablement excitante quand tu fais l'amour, c'est très très bon et doux, et j'ai joui très très fort dans ton ventre...\"
- \"Tu sais, quand je t'ai senti rentrer dans mon ventre, j'ai failli tourner de l'œil tellement c'était bon.
- D'ailleurs, quand j'ai... quand j'ai joui, je crois que j'ai perdu conscience un instant.
- Et puis j'ai senti comme ton... comme tu gonflais encore dans mon ventre et les contractions de ton sexe.
- J'ai aimé quand j'ai senti que tu giclais en moi. Oh, je savais pas que c'était aussi bon !
- tu m'as mis plein de... plein de sperme dans mon ventre ? ... Je suis pleine de toi ! \"
Saisissant mon membre raide, elle le caresse doucement, amoureusement,
sans aucune timidité ni pudeur, juste avec un petit grognement de satisfaction et de reconnaissance mélangées.
Je regarde sa main qui caresse ma verge toute humide de ses propres sécrétions et de mon sperme,
et son ventre aux lèvres ouvertes, toutes mouillées et repues de plaisir.

Très vite, je sors, je cours vers la piscine et m'y plonge au plus vite, Marine m'y rejoint. Nous sommes tous les deux sur le bord.
Elle ne se rend pas compte que sa position, les fesses tournées vers moi, est abominablement excitante et que ma verge déjà dressée fantasme à tour de bras.
Je ne resiste pas et me plaque pratiquement sur son dos, en lui enserrant les seins des deux mains.
Elle se cambre encore plus, ses fesses frôlant le bout de mon gland :
Je dégrafe son soutien-gorge, et je reprends ses seins nus dans mes mains :
ils sont doux, fermes et lourds, ils pèsent agréablement dans mes paumes. Je les caresse sans retenue.
Elle murmure simplement un \"Humm\" approbateur.
Ses fesses nues et claires sont tendues vers moi, j'y pose mes mains et les caresse, j'en éprouve le galbe et la fermeté.
Marine donne un coup de reins. Elle tourne la tête et se contorsionne pour m'embrasser,
et me susurre des \"c'est bon !\" dans la bouche.
Subrepticement, je guide mon membre à l'entrée de son vagin, puis je prends ses seins à deux mains.
Elle comprend, et je la sens fondre sous moi, s'ouvrir pour me laisser le passage.
Mon sexe tendu comme un arc s'enfonce en elle. Elle pousse sa langue dans ma bouche au moment où mon gland la pénètre.
Elle se cambre, je me recule et sors un peu de son ventre, Marine suit mon mouvement pour que je reste enfoncé en elle.
Elle recule encore et mon gland entre un peu plus. Le dos et les reins cambrés, la tête rejetée en arrière,
tout son corps se tend vers mon sexe qui la pénètre.
Lentement, inexorablement, je m'enfonce en elle.
Je glisse tout doucement dans son ventre parfaitement lubrifié :
je m'enfonce en elle comme dans une motte de beurre tiède, avec la douce résistance d'un fourreau crémeux et souple.
Lorsque mon ventre vient se coller à ses fesses, elle laisse échapper un long gémissement de plaisir qui manque me faire jouir.
- \"Reste, reste comme ça, ne bouge plus\", me supplie Marine.
Planté en elle, je ne fais plus un mouvement, seules continuent les palpitations de mon sexe dans son vagin.
Nous restons ainsi un temps qui nous semble infini, tout à notre plaisir, haletants. Marine me chuchote
- \"viens encore un peu plus\",
et d'un léger coup de reins, je bute au fond de son ventre.
Elle a une contraction brutale accompagné d'un \"han !\" de plaisir.
Je la tiens par les flancs et je recommence mes coups de reins,
elle se contracte chaque fois violemment et geint en continu.
Je sens que mes poussées pourtant retenues l'amènent très vite à la jouissance.
Je continue et soudain elle jouit avec un grand frisson,
ses jambes cèdent sous elle et je dois la retenir pour qu'elle ne tombe pas dans l'eau.
Toujours plantée en elle, je la soutiens pendant qu'elle reprend ses esprits.
Enfin elle se redresse, ma verge sortant doucement de son sexe,
puis elle se retourne vers moi, m'enlace et pose sa tête dans mon cou, et se met à pleurer en m'embrassant.
Mon sexe toujours raide contre son ventre me gêne un peu dans ce moment d'émotion, mais elle ne s'en offusque pas.
Petit à petit, elle se calme, puis me susurre à l'oreille :
- \"Oh, j'aime bien quand tu me fais ça, c'est trop, je voudrais que ça recommence ! J'imaginais pas pouvoir jouir aussi fort.
- Tu appuyais au fond de mon ventre et à chaque fois ça faisait une véritable décharge de plaisir ! C'est formidable de baiser...\"
Je dois dire que ce dernier mot m'étonne un peu de sa part, mais après tout c'est bien ce que ça veut dire, et il est temps qu'elle s'émancipe un peu aussi dans son langage.
- \"Merci, toi !\" dit-elle à mon sexe qu'elle a pris dans ses mains et à qui elle applique une caresse reconnaissante.
- \"Je suis complètement vidée, crevée, je ne tiens plus sur mes jambes !\"

Marine sort de la piscine sans même se rendre compte qu'elle est encore totalement nue. Je repêche son maillot et le mien.
Je me rhabille puis je l'aide à en faire autant.
Flageolante, elle se dirige vers un matelas de bain sur lequel elle s'allonge mollement,
les jambes ouvertes dans une position impudique mais satisfaite.
Pendant que Marine sombre dans un sommeil réparateur, je vais vers la douche,
Le ruissellement de la douche me fait le plus grand bien, mais me retrouver nu me rappelle mes moments d'intimité avec Marine,
et je sens mon sexe se réveiller hardiment. Le savonnage n'arrange pas les choses ...
C'est à ce moment précis que la porte de la douche s'ouvre et que Marine, ravie, me regarde en souriant.
Un peu surpris quand même, je me savonne le torse distraitement. Elle se saisit alors du savon et me frictionne le sexe
- \"Mes doigts glissent tout seuls avec le savon, sur ta... sur ton... sur toi. Oh, allez, sur ta queue ! Sur ta grosse queue, sur ta bite, na ! Ça y est, je l'ai dit !\" C'est marrant, c'est plus difficile pour elle de prononcer ces mots que de prendre ma bite dans sa main... Nous rions tous les deux de sa confusion, mais elle ne cesse pas pour autant de me caresser.
- \"Et sur toi ça glisse tout seul, là ?\"
Et je rentre ma main dans son maillot. Comme son maillot n'est retenu que par des nœuds sur les côtés, j'en défais un prestement, et le reste tombe.
Ravie de se retrouver nue avec moi, Marine écarte légèrement les jambes pour que ma main trouve mieux son sexe.
Saisissant le savon mouillé, je l'applique sur le ventre et sur le sexe.
Bien entendu, ça glisse bien, et je ne me prive pas de faire durer ma caresse, d'insister sur sa fente, de passer sur son clitoris avec le savon ...
Elle écarte encore plus les jambes pour que mes caresses puissent atteindre ses moindres replis.
Je colle mon ventre contre le sien et ma bite raide vient se plaquer contre son sexe. Je glisse ma verge contre sa fente,
Marine pousse son ventre en avant, je pousse mon gland ...
et je commence à pénétrer en elle comme dans un étui fait sur mesure.
Je la remplis doucement, sans résistance, et un soupir de plaisir accompagne ma lente progression.
Je pousse jusqu'au fond de son ventre, et je sens son clitoris palpiter sur la racine de mon sexe.
Je commence à la pistonner sans retenue et nous montons tous les deux rapidement vers un orgasme ravageur.
Les yeux à moitié révulsés, Marine halète de plus en plus vite, devançant mes coups de reins.
J'ai eu tort de la regarder comme ça, elle est si excitante que je ne peux plus me retenir,
je jouis brutalement en un long jet de sperme.
Mon orgasme déclenche celui de Marine et les mouvements convulsifs de son ventre accompagnent les derniers flots que je déverse en elle.
La respiration bloquée, elle jouit longuement, comme si des vagues successives la submergeaient.
Tous les deux vidés de notre énergie, nous restons un moment immobiles,
puis Marine descend son pied du rebord et refermant ses jambes, emprisonne mon pieu dans son vagin serré :
Mais je sais aussi bien jouer qu'elle, et je recommence de petits mouvements du bassin qui font aller et venir ma bite encore raide dans sa chatte bien huilée par mon sperme.
Le vagin encore très sensible de nos ébats à peine terminés, Marine est d'abord surprise de l'effet produit,
mais y retrouve vite son plaisir et le renforce en serrant plus fort les jambes.
Doucement, je sors mon sexe de son ventre, et rapidement nous nous rinçons.
J'embrasse légèrement ses lèvres, et prenant au passage une serviette, je me réfugie dans ma chambre.


Pas un bruit dans la maison. Les volets des chambres sont tous ouverts, sauf ceux de la chambre de Marine.
M'approchant pour les ouvrir, je découvre qu'en réalité elle est encore au lit, dormant profondément...
je vois la masse soyeuse de ses cheveux coulant autour de son front nu, à la peau joliment ambrée,
le bout de son nez qui dépasse, et une épaule ronde à moitié découverte par le grand t-shirt qui lui sert de chemise de nuit.
Je vais pour lui déposer un baiser tout à fait innocent sur le bout du nez, mais en m'approchant, je découvre que son drap est tombé au pied de son lit.
Mon esprit s'enflamme immédiatement, je choisis de déposer un baiser nettement moins innocent sur cette toison si douce et si tendrement offerte. Marine n'a aucune réaction, je me penche à nouveau sur son ventre. Je respire l'odeur douce de son corps tiède. J'embrasse sa vulve du haut en bas. Cette fois, Marine réagit, ouvre à peine les yeux et découvre ma tête entre ses jambes. Elle devine tout de suite d'où vient cette sensation et murmure :
\"Hummm, c'est bon, c'est divin d'être réveillée comme ça !\"
J'entraîne Marine dans des mouvements convulsifs du bassin, accompagnés de soupirs. Son clitoris est tendu, je le prends dans ma bouche, je le suce, je l'aspire entre mes lèvres, ma langue en explore tous les recoins. Elle pose ses mains sur ma tête, alternativement suivant et guidant mes mouvements. La bouche grande ouverte, elle geint à voix haute, elle a les seins tendus, le ventre contracté : qu'elle est belle, Mes lèvres remontent le long de sa fente. Marine geint et râle en continu, elle ne contrôle plus les mouvements de son ventre qui oscille à la recherche d'un plaisir total. Doucement je mordille son clitoris : Marine se cambre violemment, s'arc-boute, et elle jouit d'un coup, la respiration coupée, tendue comme un arc. Laissant enfin échapper l'air de ses poumons, elle repose ses reins sur le lit, les bras ballants, totalement comblée. Je remonte un peu, je glisse ma langue dans son nombril. Je continue mon ascension jusqu'à ses seins, entre lesquelles j'enfouis mon visage, je les embrasse et j'en suce les bouts. Je continue à remonter vers son visage, mon gland vient toucher sa vulve. En écrasant un peu mon ventre sur le sien, je la pénètre facilement. Son sexe est bien huilé...
- \"Oh, encore, viens dans mon ventre, viens, viens vite et fort !\" Dit-elle sur un ton gourmand.
Je me soulève un peu en me remontant, et je la pénètre jusqu'au plus profond de son sexe.
- \"Ouch !\" Réagit-elle, avec tout de même un léger mouvement de recul du bassin, un peu estomaquée par ma pénétration sans ménagement. D'elle-même elle entame un mouvement de reins qui me fait aller et venir en elle. Je la laisse ainsi conduire le mouvement un moment, tout au plaisir de la sentir me faire l'amour, et je joue même un peu le voyeur. Je suis ses gestes, ses réactions, son visage, son souffle, sa poitrine qui se soulève, ses seins qui durcissent, leurs aréoles qui s'élargissent. Fichtre qu'elle est bandante ! Je ne peux plus me retenir, et j'accompagne ses mouvements, parfois les amplifie, parfois les contrarie. Par moment elle me laisse faire, par moment elle reprend les rênes, par moment elle m'accompagne. Nous restons l'un dans l'autre sans bouger, à nous dire des mots doux, à nous embrasser. et nous continuons à jouer à la limite de l'orgasme. Mais ça ne peut pas durer éternellement, et quand Marine dans un souffle dit
- \"j'en peux plus, j'peux plus !\",
Je me rue en elle, je précipite mes mouvements, et je la vois sombrer dans un plaisir qui dure, qui dure... Je me retiens encore le temps qu'elle reprenne un peu ses esprits, et je recommence doucement mes mouvements jusqu'à lui offrir ma propre jouissance, sans aucune retenue.
- \"Oh, c'est beau, c'est beau...\" balbutie-t-elle alors que mon sperme finit de gicler dans son ventre.
J'ai l'impression d'en déverser des litres en elle ! Brisé, je m'écroule sur elle, collant mes lèvres aux siennes, submergé par une gigantesque vague de tendresse partagée. Il nous faut encore de longues minutes de baisers avant de nous décider à nous relever pour aller prendre notre petit déjeuner, tous les deux un peu tiraillés par la faim. Fichtre, quels dégâts ! Il faut que Marine change ses draps, mon sperme a largement coulé de son ventre, et une vaste auréole plus que suspecte s'étale au beau milieu !

Je trouve Marine très désirable : elle porte une chemise déboutonnée simplement nouée sous les seins, et une (très) petite jupe serrée qui lui moule les fesses. Elle s'écarte de moi, elle enlève tous ses vêtements et avant que j'ai eu le temps de réagir, me déshabille en un tour de main. Nus tous les deux, nous nous étreignons à nouveau, mon sexe raidi appuyé contre son ventre. Nous savourons chacun la peau nue de l'autre. Nos mains s'égarent, se promènent et caressent nos corps brûlant d'excitation. Mes mains pétrissent ses seins, doucement mais avidement, je les soupèse au creux de mes paumes, je les enferme dans mes doigts, je joue avec leurs pointes. Appuyant sur mes épaules, Marine me demande de me baisser, elle accompagne mon mouvement, puis me fait coucher sur le lit et se couche sur moi. J'ai repris mes caresses sur tout son corps, de sou cou à ses cuisses. Ma main continue à parcourir ses seins, son ventre, son sexe, ses cuisses. Mes doigts jouent dans sa toison. Elle écarte un peu les jambes, les collant aux miennes. Il ne me faut qu'un geste pour la basculer sur moi, ses seins écrasant ma poitrine, son sexe contre le mien, dressé entre ses cuisses, elle se soulève un peu et picore mes lèvres avec les siennes, pressant sa poitrine contre moi, puis son ventre. Elle découvre ces nouvelles sensations en continuant à m'embrasser, jusqu'à ce qu'elle découvre les mouvements de son bas-ventre faisant frotter sa chatte contre ma bite raidie, elle se cambre et un sourire de plaisir se dessine sur ses lèvres. Elle souffle fort, de plus en plus vite. Ses mouvements s'accélèrent, se renforcent, elle appuie fort sa vulve contre ma verge dressée. Et soudain elle jouit en se raidissant brutalement, écrasant son pubis contre moi, vidant ses poumons de tout l'air qu'ils contiennent. Puis reposant sa tête contre la mienne, elle reprend petit à petit son souffle.
- \"Oh, j'ai joui toute seule ! Oh, j'avais l'impression d'avoir un pieu entre les cuisses, c'était bon !...\"
Marine reste dans cette position à ronronner contre moi, bougeant à peine, juste pour un baiser ici et là dans mon cou. Elle s'étire de tout son long, et ne manque pas de sentir contre son sexe ma bite toujours raide et qui n'attend qu'elle. Avec une moue de gourmandise, elle se contorsionne pour essayer de me faire pénétrer dans son ventre
- \"Attends, c'est moi qui vais te faire l'amour !\" déclare-t-elle avec un grand sourire.
Elle se redresse à califourchon sur moi, et tout doucement, elle redescend son bassin, ses lèvres appuient sur mon gland. Ce simple début de pénétration, qu'elle provoque elle-même, affole ses sens. Elle rouvre les yeux, et en surveillant mes réactions sur mon visage et aux contractions de mon sexe, elle s'empale doucement dessus. Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma bite, l'engloutit et la brûle. Elle ralentit sa progression quand elle sent mes sens s'affoler. Je voudrais avoir un sexe d'un mètre ! Je la sens toute entière autour, comme si tout son corps m'enserrait. La sensation est diabolique, Petit à petit, elle a recouvert toute la longueur de mon sexe, maintenant enveloppé d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions involontaires qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est délicieuse, affolante. Elle me sourit de contentement et se penche vers mes lèvres pour les embrasser sans quitter mon pal qui la pénètre profondément. Son mouvement déplace mon sexe dans son ventre. Elle se redresse, nouvelle sensation dans son ventre. Elle découvre au fur et à mesure toutes les sensations qu'elle peut provoquer. Elle se soulève encore un peu et se baisse à nouveau, sent ma verge coulisser dans son ventre.
- \"Hummm ! C'est moi qui, que tu, qui me baise avec toi... Humm, je peux me faire ça moi-même avec ta bite !\"
Elle a encore des découvertes de pucelle, ça m'excite encore plus. Ma verge bat spasmodiquement dans son ventre, Marine a du mal à maîtriser le jeu. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés. Elle parvient à contenir la montée de son plaisir en ralentissant par moments ses mouvements, ou en leur donnant moins d'ampleur. Amplifiant son mouvement, elle en vient à se dégager complètement de mon sexe, et un très court instant, j'aperçois son visage un peu décontenancé, comme déçu, et sa chatte à quelques centimètres au-dessus de mon gland luisant, rouge, tendu. Tout de suite elle s'abaisse rapidement, engloutissant brutalement et d'un coup toute la longueur de ma bite !
- \"Ahhh !...\" Cette pénétration massive et violente lui coupe le souffle, elle pousse un cri, mélange de surprise, de plaisir et peut-être de douleur, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'en fais j'essaye d'en faire autant, bien que submergé par la sensation et le spectacle qu'elle m'offre. Après un moment, deux fois, trois fois, elle recommence ce même envahissement brutal, réprimant de plus en plus difficilement un orgasme tout proche. Devant l'imminence de sa jouissance, elle se contente de se soulever, puis à petits coups de ventre, fait juste entrer et sortir mon gland de sa vulve. Mon sexe est tendu à éclater et je suis aussi au bord de l'orgasme, le souffle me manque. Elle parvient à cesser tout mouvement, plantée sur mon sexe qu'elle n'a jamais senti aussi gros, aussi envahissant. Elle a un hoquet, et se penchant vers moi, réfugie son visage dans mon cou, fond en larmes.
- \"Ohhh, Tom, c'est bon, c'est bon...\" balbutie-t-elle au milieu de sanglots saccadés. \"C'est trop bon, je vais éclater... Oh, j'aime ça, j'aime tant ça... Il ne faut pas arrêter, mais je vais partir comme une fusée...\"
- \"Mais vas-y, continue, jouis, jouis de ton plaisir, Marine !...\"
- \"Oui, mais je voudrais que ça dure, que ça dure, que ça ne s'arrête pas... Je découvre tellement de choses, Tom, je voudrais tout découvrir...\"
Et puis Marine se soulève, rampe en arrière vers le bas de mon corps, je la tire vers moi. Elle reprend position sur moi, s'empale à nouveau et me serre encore dans ses bras. Sa langue fouille dans ma bouche. En même temps, je la cajole, je caresse son dos, ses fesses. Je passe une main entre ses deux globes fermes et trempés de sueur. en gesticulant de tous côtés, elle découvre de nouvelles sensations, celle de tourniquer autour de ma bite :
- \"oh, ça aussi c'est bon !\".
Elle se redresse complètement, empalée sur mon sexe comme sur un pivot, et entame des mouvements en cercle avec son bas-ventre. En relevant un peu la tête, je peux voir ses yeux fermés, ses narines pincées, sa bouche grande ouverte qui respire à grands coups, les muscles de son ventre eux aussi luisants de transpiration qui se contractent et travaillent pour frotter en rond sa chatte sur mon pubis, ma verge fouillant profondément son vagin, frottant sur toutes ses parois, trouvant les moindres parcelles de plaisir. Jusqu'à son clitoris largement sorti de son capuchon, qui frottent les poils de mon pubis. Le spectacle est tellement excitant que je ne peux m'empêcher de mêler à ses mouvements mes propres coups de boutoir, plantant mon gland au plus profond de son ventre. Le corps raidi, Marine geint à haute voix, halète, précipite son mouvement. Puis, avec un long cri étouffé, elle repose ses mains sur ma poitrine, semble s'étirer tout en s'écrasant sur mon sexe, et jouit longuement, agitée de sursauts incontrôlables. Ce feu d'artifice déclenche mon propre orgasme avec un instant de retard, et je la rejoins dans un torrent de plaisir, le dos et les reins cambrés, arqués, la soulevant haut au bout de ma bite, déversant au fond d'elle un flot de sperme.
- \"Ahhhhhhhh !...\"
C'est un cri de jouissance pure que pousse Marine. Je la garde comme ça sur moi un moment, perchée sur mon ventre, les bras ballants, ma verge enfoncée en elle. Puis lorsqu'elle rouvre les yeux et me regarde avec un sourire d'une infinie tendresse, je me détends, reposant à nouveau sur le sol et je lui tends les bras. Elle se couche sur moi, étend les jambes en enserrant les miennes, couvre mon cou de baisers.
- \"Hummm, mon Tom, ça peut être aussi fort que ça ? J'ai pas rêvé ? J'ai joui comme ça ?\"
- \"Hum oui ma Marine, tu as joui comme une reine, comme une déesse, et tu m'as fais jouir comme tu peux pas imaginer !\"
- \"C'est toi qui m'a donné ton plaisir, j'ai senti tout ton foutre gicler au fond de moi, tu m'as tout donné...\"
Je nous fais basculer d'un demi-tour, et Marine se retrouve maintenant sous moi, mon sexe toujours planté dans son ventre, pas encore dégonflé. Pour la taquiner, je vais et je viens un peu dans son vagin, mais elle proteste en riant :
\"stop ! Arrête, enfin ça y est, je suis comblée, j'en peux plus, je suis moulue, je demande grâce ! Heu, jusqu'à la prochaine fois seulement, hein ?!?\"
Je ris aussi, et doucement je me retire d'elle, puis je m'étends à ses côtés. Cette fois, les caresses que je lui fais nous laissent ne réveillent pas tout de suite nos appétits, et nous nous disons des tendresses, les yeux dans le vague, tout à notre bonheur. Longtemps, longtemps après, enfin reposée de nos fatigues,

Marine se lève et s'éloigne de quelques pas pour un petit besoin qu'elle s'en va satisfaire discrètement, bien que complètement nue. Ses petites fesses musclées et fermes qui s'éloignent me font monter le sang à la tête. Et quand je la vois revenir, exposant sans pudeur tout son corps nu, ses seins magnifiques et fermes bougeant à peine, la petite tache blonde de sa toison les lèvres de son sexe encore gonflées de nos coïts, je sens mon sexe se redresser, gonfler à nouveau. Je me relève pour l'accueillir, la serre contre moi, frottant ses seins durs contre ma poitrine. L'effet est foudroyant, ma bite se raidit brutalement et pousse contre le ventre de Marine. La coquine sourit de surprise et se met à frotter son ventre contre ma verge, la faisant gonfler et raidir encore plus.
- \"Je te fais encore bander, hein ! T'as encore envie de moi ! \"
Se haussant sur la pointe des pieds, elle a passé ma bite entre ses cuisses serrées, et ondulant du bassin, elle se masturbe doucement sur mon sexe long et raide. Je la saisis sous les aisselles, la monte un peu plus haut, et d'instinct elle ouvre les jambes et les enroule sur mes hanches, passe ses bras autour de mon cou. A bonne hauteur, elle m'embrasse divinement, tout en continuant à se masturber sur mon sexe. Je bande de plus en plus fort, presque douloureusement tellement ses frottements m'excitent. D'une main, je guide le bout de ma verge vers sa fente, et le mouvement suivant de son bassin me fait pénétrer profondément dans son sexe encore tout lubrifié de mon sperme. De surprise, elle manque me lâcher, m'enfonçant encore plus en elle. Le plaisir brutal la tétanise une seconde, puis immédiatement elle déchaîne les mouvements de son bassin, faisant pénétrer et sortir ma verge de son vagin brûlant, ses lèvres toujours plaquées aux miennes. Elle mordille mes lèvres, alternant les mots d'amour, des mots plus crûs et des halètements.
- \"J'aime ! Ohhh... J'aime ta bite dans mon ventre ! Pousse fort ! Ohh, je t'aime, je t'aime... Ouuf ! Doucement, viens, recule, viens ! C'est bon, ce que c'est bon !... Ta queue dans mon ventre, ta queue... Ahhh !... Ahhh ! Arrête un instant, oh non continue... Viens, viens ! Plante-moi ta bite, jouis ! Je vais jouir, me laisse pas, viens !...\"
Nous jouissons presque ensemble, le plaisir est tellement fulgurant que je suis obligé de m'agenouiller, incapable de nous porter. Je gicle encore en elle alors que nous sommes tous deux agenouillés au sol, mon sexe rivé dans le sien. Le souffle court, étonnés de la rapidité et de la force de notre jouissance, nous revenons peu à peu sur terre. Marine me pousse doucement en arrière pour m'allonger sur le dos, et vient s'installer sur mon ventre, sa chatte humide sur mon nombril. Pendant qu'elle caresse tendrement ma poitrine et mon cou, je caresse aussi doucement sa toison blonde, sa douce fourrure claire et soyeuse. Je frôle le capuchon de son clitoris maintenant calmé, je passe le pouce le long de sa fente trempée. Nos sens sont calmés, repus. Amoureusement, Marine frotte sa toison sur ma poitrine, comme avec une petite brosse, riant doucement. Je la regarde faire, et elle ne s'aperçoit pas que de son sexe enfin détendu, s'écoule tout le sperme que j'y ai déversé. Jusqu'à ce que cette humidité inattendue contre son ventre la surprenne :
- \"Oh, je coule sur toi ! Ton sperme coule de mon ventre...
Et c'est vrai qu'une large flaque blanche couvre maintenant mon ventre.
la faim nous tiraillant, nous nous rhabillons paresseusement. Qu'elle est belle ! Nue ou habillée, elle est jolie ! Je l'aime mieux nue, mais même habillée, elle me fait aussi bander.