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samedi 06 juillet 2024 - 14h42rech / rep
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(taille reelle)
souvenirs d'un lundi après-midi ()
C'était la derniere journée de notre coiffeuse avant la fermeture annuelle , les derniers clients étaient partis. Il ne restait plus que moi. J'etais assis à quelques metres d'elle. Occupée un moment à regarder ses comptes, elle croisait et décroisait ses genoux denudés au comptoir laissant par moment entrevoir une fine culotte de soie et cela me fascinait. Je me suis souvenu des delicieux moments ou elle me coiffait en glissant tendrement sa main dans mes cheveux. Sa poitrine debordait legerement alors de son soutien-gorge au contact de ma joue et parfois venait s'appuyer sur mes lèvres me creant de veritables frissons de volupté. Je respirai ses effluves avec delice. Je me suis rappelée ses regards furtifs vers moi les semaines précédente lorsque j'attendais d'être coiffé et que je regardais tout aussi furtivement ses delicieuses poitrines, bien visibles sous un decolleté genereux,
- A ta disposition, quand tu veux ! .... Tu viens ?
Elle me reveillait brutalement de mes reveries erotiques. En m'installant dans le fauteuil, je pressentais que quelque chose d'imprevu allait arriver. Je remarquai immediatement qu'elle avait ouvert le haut de sa robe laissant entrevoir la naissance de deux tres belles poitrines. Elle commenca à me coiffer beaucoup plus lentement que d'habitude en mettant directement sa gorge affolante de sensualité au contact de mon visage. Je respirai les effluves d'un envoutant parfum de femme. J'avais la tres nette impression qu'elle agissait ainsi de maniere deliberée. Je decidai alors de tenter l'impensable; ma main droite se mit à caresser sa robe au dessous des genoux me créant sur la peau frissonante une salve de douces sensations. Elle ne reagissait pas. Je remontai alors doucement ma main sous la robe au contact d'une combinaison soyeuse et d'une cuisse douce et chaude, elle ne reagissait toujours pas mais son sein droit venait s'appuyer plus franchement sur mes lèvres. Je continuai ma progression entre ses deux cuisses qui se sont alors écartés comme si elle m'encouragait à poursuivre. Son sein était sur mes lèvres. Ma main remantait plus haut, se glissait maintenant entre ses deux cuisses la ou le peau est si douce et chaude, elle arrivait au contact d'une fine culotte de soie legerement humide, lorsque brutalement, elle serra ses cuisses autour de ma main et me fixa avec des yeux presque severes en arretant son travail de coiffe. Elle s'ecarta alors de moi et alla discretement fermer la porte du magasin tout en me fixant d'un regard oblique, puis elle revint vers moi.
Elle souleva alors les bras pour enfiler sa main dans ma chevelure, degageant sous ses aisselles la naissance de ses seins magnifiques, je n'arrivai plus à dissimuler l'enorme protuberance qui pointait a la verticale de mon pantalon. Elle y posa la main en me gratifiant d'un sourire ravageur. Cette caresse sur mon sexe en relief ne fit qu'aggraver mon état. C'est alors qu'elle stoppa son travail et me regarda droit dans les yeux:
- J'ai bien vu ton regard depuis tout à l'heure, ce n'est pas la premiere fois !
- A chaque fois que tu viens, ton regard ne me quitte pas !
- Nous n'allons pas en rester là, tu es d'accord ?
Elle se dirigea alors vers la porte qu'elle ferma à clef, puis elle abaissa le rideau et revint vers moi. Elle vint se positionner face à moi dans cette officine desormais vide. Sans dire un mot, et tout en me regardant fixement, elle déboutonna, un à un, les boutons de sa robe,
- Je sais que tu aimes mes seins ! Tu veux les voir ?
La plénitude de ses seins, de ses hanches, fit monter d'un cran mon excitation. Elle remonta ses mains sous ses lourdes poitrines qu'elle soupesa et malaxa lascivement sous mes yeux jouant avec les plis du tissu leger. Mes yeux buvaient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. une peau somptueuse, de longues jambes fines, moulées par le tissus luisant,
Elle était desormais là devant moi, sans complexe, dans sa combinaison ornée de belles dentelles, resserrée sous la poitrine. Les caresses du tissu sur sa peau laissaient saillir les pointes de ses seins, épousant au plus pres son corps souple et chaud. Puis elle fit glisser subrepticement la bretelle droite de son soutien-gorge, dégagea l'épaule gauche. Ses seins s'affaisserent un peu, tout en gardant leur lourde rondeur. Mon sexe se leva d'un coup sous le fin tissu de mon pantalon, il durcissait encore et pointait maintenant de maniere indecente devant elle.
- Viens contre moi
Quand, à sa demande je vins vers elle, je constatai qu'elle commencait à se frotter sur mes reliefs, la pression monta de nouveau d'un cran. Elle ne pris pas 4 chemin pour m'exprimer sa volonté
- Caresse mes seins ! Il ont besoin de tes mains chaudes !
Je commencai alors à la carresser, à palper ses beaux seins, souples sous la soie, la chair avait un moélleux exceptionnel. Je les tenais serrés l'un contre l'autre. Je la tirai vers moi, en saisissant ses seins au creux de mes deux mains. Je les caressais toujours avec douceur.
- Caresse maintenant mon ventre ! ... et là ... plus bas ! Ne sois pas timide !
Je glissais ma main plus bas, sur son ventre, et plus bas encore, elle mouillait énormément. elle ferma les yeux un instant, puis les ouvrit, me lanca un regard intense. Son visage se transformait.
Je soulèvai alors sa combinaison de nylon le long de ses hanches, glissai ma main dans sa fine culotte de soie, j'atteignai sa vulve mouillée, la massais doucement. Elle commença alors à trembler. Des frissons de plus en plus forts la secouerent. Elle se cambra dans un spasme violent et retomba toute molle dans mes bras.
Mes doigts glisserent sur le satin; descenderent vers ses cuisses, avec de longs va et vient. Le tissu devint manifestement mouillé. Je glissai mes doigts sous la soie. Je passai une jambe entre les siennes, j'entourai ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sentais le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine J'étais haletant, et heureux à la fois
Je gardai dans mes mains cette lingerie fine et douce, pleine de de son odeur, cette lingerie que je rêvais d'écarter un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle, et qui alors se tacherait, de nos jouissances, de notre orgasme joyeusement partagée, cette lingerie si remplie alors de nous deux, et qui me ferait comme un souvenir le jour durant.

Puis elle écrasa ses seins contre mon torse et ne bougea plus. J'étais fou. Elle me regarda en me fixant intensément.
- Viens maintenant ... Je suis prête !
Je dirigeai mon gland et je m'enfoncai entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Je la pénétrai tout doucement, puis d'un coup plus franc au plus profond de son ventre. Elle gémissait comme une petite fille. Profondément empalée sur ma verge, son jus tiède m'inondait le bas ventre, je m'enfouissai bien profondément, écartant bien ses lèvres toutes distendues. Je goutai pleinement l’odeur de son sexe, je m'enivrai de ses effluves. Elle m'encourageait
- Je te sens bien dans mon ventre ! Je suis toute à toi.
Ma queue restait bien enfouie dans son sexe, elle diminua un peu de volume mais restait quand même bien dressée. Elle en profita pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant sous mes yeux ne tarda pas à me redonner encore de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandai encore plus au fond de son ventre, Je la tins par les hanches et elle soulèva son bassin puis se laissa retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je voyais ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchaient, se frottaient l!un contre l'autre. Empalée à fond, elle remuait pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encouragea à lui en donner encore plus !
- Tu es bien profond en moi, j'aime ! Continue
Elle se déchaînait, ses seins ballottaient de droite à gauche elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je n'y tins plus ... J'accélèrai, ... je me figeai, je me bloquai ... et je lâchai un flot de sperme qui gicla par saccades au fond de son profond vagin
- Oh mon chéri ! C'est si bon ! Merci ! Tu me fais du bien !
Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je m'affaisse sur elle, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous

lorsque je me suis retiré d'elle, lentement, sortant ma longue verge gluante de sa vulve trempée, elle était assise, affalée et regardait vers le bas à quoi elle pouvait ressembler après une étreinte aussi féroce. Sa robe était tirebouchonnée sur ses hanches et sa culotte trempée était enroulée autour d'une de ses chevilles. Sa vulve était rouge et toute gonflée et sa toison brune était humide, entièrement imprégnée de mon sperme. Ses seins étaient tout rouges et couverts de marques de mes succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de sa fente, sur ses cuisses. Elle voulait garder ma chaleur en elle un peu plus longtemps. Elle était ouverte comme jamais, du sperme coulait sur ses cuisses et descendait jusqu'à ses pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil.
J'étais affalé sur un fauteuil avec mon sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers mon bas-ventre, elle pouvait encore sentir mon liquide s'échapper de sa fente, ses énormes seins étaient rouges et gonflés.

J'ai repensé toute la nuit à ma tendre caresse sur ses seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, ma verge gonflée de sève qui enflait dans son ventre, lovée autour de sa vulve, son vagin qui me serrait convulsivement et me massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos