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samedi 06 juillet 2024 - 14h20rech / rep
cptr-p2-32@ mat-16-andrallong copie

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(taille reelle)
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Ma tante s'était mis dans la tête de m'initier aux choses de la vie. ses 50 ans face à mes 18 ans alimentaient souvent mes pollutions nocturnes. ses lèvres aux couleurs soutenues donnaient a ses yeux noirs un velouté incroyable. Elle m'entraîna ce jour là dans sa chambre dont le lit préparé sentait le propre de la soupline.
- Déshabille-toi, vite !
Elle tourna les talons et quitta la chambre aussi doucement qu’elle était y était entrée. J'étais complètement ébranlé par ce qui venait de se produire. Une fois nu, je me glissai sous le drap cachant ma virilité brûlante par pruderie. mon sexe était à l'étroit. Un bruit de froissement de tissu me fit revenir à moi. Ma tante se tenait devant le lit. Elle était magnifique. Elle avait déboutonné sa robe, et reajustait sa poitrine dans son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement. puis elle referma la porte à clé ! Tout doucement elle vint s'asseoir à coté de moi sur le lit, ses seins libres ondulant sur une transparence laissaient voir des pointes roses. Assise, elle venait de croiser ses jambes laissant apparaître une cuisse splendide ses mains déboutonnèrent deux boutons de son deshabillé … Elle se pencha pour réajuster l’oreiller et, ce faisant, fit bailler son décolleté un peu plus, Sa poitrine imposante débordait du soutien gorge. Elle arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, Tatie poussa un petit soupir, elle se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche. Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande. Puis elle glissa ses doigts dans ma chevelure. sa bouche couvrit mes lèvres, mes joues, mon cou. mon penis en feu sentit son sein gauche le heurter. Le contact du tissu et le moelleux de son sein lourd aggrava mon etat ! elle prit ma main tremblante, la dirigea sous le plissé, pour la poser sur le haut du sein, c'était moelleux comme jamais, j'eus un regard sur sa peau de pèche qui se troublait : la sueur perlait en gouttes vers son décolleté ; sa main chercha et flatta mes testicules, elle serra mes bourses la mienne tourna sous son sein.

Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite avant de la passer sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil, puis, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et vint m'enjamber à califourchon, elle souleva sa nuisette qui se gonfla en retombant sur mes flancs. Puis elle écarta ses jambes de façon presque imperceptible. D'une main, elle guida son sexe bandé vers elle, vers cette moite ouverture, chaude comme un cocon. Elle se laissa pénétrer doucement. Elle se laissa enfoncer sur mon pieu et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés causés par les mouvements de mon sexe dans son vagin. Je m'enfonçai dans ses chairs, lentement, profondément, puis nous restames ainsi un moment sans bouger à se contempler l'un à l'autre unis, bonheur de se faire languir, de déguster avant d'engloutir, l'un à l'autre, lui en elle. Elle se plantait sur la hampe verticale de mon érection suintante, ses lèvres humidifiées presque inondées absorberent mon jeune dard jusqu'a la base, elle mit ses seins en appui sur mon torse écrasant ses deux éminences contre mon corps. Je sentis alors ma verge dure se napper comme un coulis enrobe un fruit ; son liquide plus le mien englobèrent ma tige sur toute sa longueur !
Que dire quand elle se décala d'un centimètre pour glisser ses muqueuses de part et autre de mon vit c'était chaud et aqueux, son vagin se contracta d'un mouvement de constriction réflexe ; l'étranglement de mon sexe décupla s'il se put mon pulsionnel plaisir. Pubis contre pubis elle remit ses blonds cheveux d'un geste de la main des plus sensuels reprendre place dans son dos, elle se dégagea un peu, abandonnant ses liquidités presque amniotiques c'est moi qui poussai mes hanches vers ses fuites. Lea passa ses doigts dans mes cheveux, encadrant mon visage de ses mains chaudes. Ils s'appartiennaient un peu plus. A la fois troublé et inquiet, Kevin caressait la peau fraîche et lisse, arpentant le corps féminin en tous sens.

Puis les vagues se firent plus fortes, un roulis nous ébranlait, nos sens en fusion. Elle haletait, elle se cambra et enroula ses jambes, allant et venant entre mes cuisses, l'eau saline jaillit de sa source puis en elle comme un éclair fulgurant. Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe de femme absorbant mon penis eut pour effet de m'amener rapidement à une explosion de mes sens. J'eu la force en six secondes d'aller et venir trois fois, dont deux qui se traduisirent par un gémissement de ma tante, j'explosai de tout mon corps, avec elle, secouée de spasmes. Nous etions l'un sur l'autre à jouir du même orgasme
Lorsqu'elle bascula sur le dos, mon sexe qui obturait son étui laissa ses eaux m'inonder, nous étions liés au plus près assis, moi encore la traversant. mon phallus redevint Verge, je débandais en elle !
Elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager sous peine de souffrir un maximum.

Lorsque je me réveillais, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur Tatie. Elle portait un plateau où se trouvaient, un petit déjeuner. Elle posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire. Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien.
- Tu as bien dormi, il faut te nourrir !
Elle prit place près de moi et me donna à manger. Sa chemise de nuit était ouverte sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous le fin tissu, ses cuisses étaient gainées de bas sombres. Il mangea tout. Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de lui Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Elle ne portait pas de culotte. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire.
Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur,
puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base.
Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge,
mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds
Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter.
- Tu sais, Même si tu es faible, même si tu souffres, ta volonté, je suis là pour lui répondre et te remettre en forme.
Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu, dans la convalescence.