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samedi 06 juillet 2024 - 15h04rech / rep
cpt-t-205@ hrem

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(taille reelle)
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Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Ils sont lourds, beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. Nous restons un long moment, sans parler. Nous sommes l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Je lui embrasse la nuque et lui mordille l'oreille. Elle gémit doucement. Sa bouche cherche et trouve la mienne. Sa langue humide et agile m'électrise. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, la peau caramel, de belles formes, lisses, souples et bien rondes. Je les palpe, les embrasse doucement pour goûter sa peau dorée ... Bien cambrée et appuyée sur les coudes, elle s'offre à moi. Je sens sa chaleur humide, son envie de moi, son désir de moi.
Lentement, je m'enfonce dans ses entrailles, c'est une sensation d'une douceur infinie. Elle ferme les yeux et semble goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chacun de mes retraits s'accompagne d'un délicieux bruit de succion. Ma verge plonge en elle et gonfle en meme temps. Elle occupe son espace tout entier. Je m'inquiète d'elle:
- Tu es bien ? ... Tu veux, maintenant ?
- Non ... Pas encore... C'est si bon !
Je m'agrippe alors à ses épaules et reprend mes longues penetrations. Elle bouge son bassin pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Elle aspire ma verge, Je m’enfonce. Je glisse dans son ventre. Elle aspire mon sexe de ses muscles intimes, s’abandonne, liquide, légère. goût du vertige, je voyage en elle. Je goute ses succions. lumière veloutée. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur.tout son corps frémit … Elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens mes bourses, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés. Elle s'enfonce ma queue sous tous les angles, la ressort presque entière avant de se la renfourner avec plaisir. je la baise à fond, venant heurter ses fesses de mes bourses à chaque coup de rein avec un petit bruit sec ; ses seins ballottent comme en pleine tempête. Wahida gémit de plus en plus fort. J'enfonçe mon visage dans son cou. tandis que je palpe ses seins, Elle m'encourage tendrement, les yeux mi-clos, la tête penchée au milieu de ses cheveux noirs en désordre. Ses lèvres trempées s'écartent un peu plus et mon sexe glisse dans du beurre tiède. Sa ventre est très chaud et assez étroit, faisant comme un fourreau satiné et glissant. elle relève encore les jambes en les écartant au maximum
Un léger coup de rein, je la pénètre plus profondément, elle est prise de vertige et ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui la fouille et qu'elle aime. La transpiration perle entre ses seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. La sensation de mon enorme sexe dans le sien lui fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit elle.
Je saisis ses épaules, augmente l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouis encore et je continue. Je n'en peux plus. Mes muscles se tendent. Je me plante vivement au fond d'elle ... Je me raidis, me retiens, me crispe ... et, d’un souffle, je me vide et me répand en elle en une apothéose ! en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent Je m'effondre sur son cou, la caressant et l'embrassant doucement. Je me penche sur elle. Je l'embrasse dans le cou, elle sourit, sentant un flot la remplir. Je l'inonde d'une douce chaleur. Elle en gémit de bonheur. Je m'effondre sur elle avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conserve dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent ses paupières.