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samedi 06 juillet 2024 - 14h44rech / rep
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(taille reelle)
telle une fleur au printemps ()
Son corps peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Je l'ai pénétrée doucement, glissant tendrement dans son ventre chaud et etroit, son souffle était lent. Plus je la pénétrais, plus il était long et profond. Lorsque j'atteignis le fond, je restais un moment en elle sans bouger, elle avait les yeux fermés, elle était offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblait jouir de ma douce penetration. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage. Doucement le rythme s'accélèra, Elle était maintenant totalement offerte, chaude et douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sentis en moii venir le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Lentement, je m'enfonçai de nouveau dans ses entrailles, c'était une sensation d'une douceur infinie. Elle fermait les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements se firent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un délicieux bruit de succion. ma verge plongeait en elle et gonflait en meme temps. Elle occupait son espace tout entier. Je m'inquiètai d'elle:
- Tu es bien ? ... Tu veux...maintenant ?
- Non ... Pas encore ... Continue tes caresses !
Je m'agrippai alors à ses épaules et repris mes longues penetrations. Elle bougeait son bassin pour accroître les sensations. Elle me regardait avec envie. Nos regards se souderent l'un à l'autre.
Un violent coup de rein, et je la pénètrai plus profondément, elle fut prise de vertige et ferma les yeux un instant. Je me concentrai sur ce doux nid que je fouillais et que j'aimais. La transpiration perlait entre ses seins, nous poursuivions notre course. Elle me donnait du plaisir, je le lui rendais au centuple.
- Je sens que je viens ! Tu veux que je me retire ?
- Non ! Reste !
La pensée de mon enorme sexe glissant dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit-elle.
Je saisis ses épaules, augmentai l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs l'excitait. Elle se cabra, je poursuivis ma chevauchée. Elle jouissait encore et je continuais. Puis je m'arrêtai net, tendis mes muscles, bloquai ma respiration et crispai mon regard .....
- Marie ! ... Je viens !
- Oui ! Vas-y ! ... Bien au fond !
Je sentis alors un flot la remplir, she l'inondais de ma douce chaleur. Elle en gémissait de bonheur. Puis, je m'effondrai sur elle, avec des grondements d'ours blessés.
- Oh Marie !
Des voiles se refermerent, la tension se relâcha, une chaleur humide s’épancha de mon corps. Ma respiration se fit profonde, le calme revint... Progressivement, tout retomba... Je restai planté en elle, immobile ... Une lourdeur pesante envahit nos membres. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... nos corps étaient repus... Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conservait dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inonderent nos paupières.




Que mes seins te provoquent. Je veux ta rage. Je veux voir tes yeux s'épaissir, tes joues blanchir en se creusant. Je veux tes frissons, que tu éclates entre mes cuisses, que mes désirs soient exaucés sur le sol fertile de nos corps sans pudeur.

Joyce Mansour







Mon corps peu à peu s'est offert à lui, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Il m'a pénétré doucement, tendrement dans mon ventre chaud et etroit, son souffle était lent. Plus il me pénétrait, plus il était long et profond. Lorsqu'il atteignit le fond, il resta un moment en moi sans bouger, j'avais les yeux fermés, j'étais offerte, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de sa douce penetration. Il passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage. Doucement le rythme s'accélère, j'étais maintenant totalement offerte, chaude et douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sentis en lui venir le plaisir, l'envie de s'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Lentement, il s'enfonça de nouveau dans mes entrailles, c'était une sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements se firent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un délicieux bruit de succion. sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Il s'inquièta de moi:
- Tu es bien ? ... Tu veux...maintenant ?
- Non ... Pas encore ... Continue tes caresses !
Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regardait. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me concentrai sur ce gros gland qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple.
- Je sens que je viens ! Tu veux que je me retire ?
- Non ! Reste !
La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net, tendit ses muscles, bloqua sa respiration et crispa son regard .....
- Marie ! ... Je viens !
- Oui ! Vas-y ! ... Bien au fond !
Je sentis alors un flot de me remplir, comme inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis, il s'effondra, avec des grondements d'ours blessés.
- Oh Marie !
Des voiles se refermerent, la tension se relâcha, sa chaleur humide s’épancha de mon corps. Ma respiration se fit profonde, le calme revint... Progressivement, tout retomba... Il resta planté en moi, immobile ... Une lourdeur pesante envahit mes membres. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... nos corps étaient repus... Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inonderent mes paupières.




Que mes seins te provoquent. Je veux ta rage. Je veux voir tes yeux s'épaissir, tes joues blanchir en se creusant. Je veux tes frissons, que tu éclates entre mes cuisses, que mes désirs soient exaucés sur le sol fertile de nos corps sans pudeur.

Joyce Mansour