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samedi 06 juillet 2024 - 15h08rech / rep
--hrem-02-mariage-algerien

--hrem-02-mariage-algerien
(taille reelle)
femme du désert ()
Son sari de soie rouge satinée fendu sur le coté jusqu’à mi-cuisse dévoilait à peine une peau somptueuse et brune, de longues jambes fines et musclées. Je sentais déjà sa chaleur. J’imaginais l’onctuosité insoutenable de son corps. J’imaginais ses formes sans vraiment me rendre compte qu’elle me regardait. Je n'ai réalisé qu’après avoir senti la chaleur de sa présence, son regard amusé, sa main effleurer ma tête, ses doigts passer dans mes cheveux. J’imaginais encore, quand elle crut bon de me faire réagir,
- Mais ... où es-tu ? .... Est-ce que j'embrasse un rêve ?
Je ne l’imaginais plus. Elle était là, contre moi et s’enroulait maintenant contre mon corps. Je compris que ses petits gémissements de contentement formaient un appel à plus d’impudeur.
- Nous ne pouvons rester ici ! Viens avec moi, Chut ! ne dis plus rien.
- et surtout ... Ne te lasse pas de me regarder, ne cesse pas de me désirer.
Elle m’invita à la suivre et je pus observer à portée de mon regard ses formes moulées par le tissu luisant, alors qu’elle continuait à me parler de sa voix chaude, mon désir s'enflamma, sauvage, irraisonné. la beauté radieuse qu’elle offrait à ma vue, et le désir violent que j’avais pour elle s’imposaient à moi d’évidence. Sa poitrine souple et légèrement tombante, offrait de ravissants contours. Il faisait chaud. Elle me fixa d'un étrange sourire et m'invita a monter avec elle.
- Ne te lasse pas de me regarder, ne cesse pas de me désirer.
- Je veux que tu me prennes comme on cueille un fruit,
- Je veux que tu me dégustes avec délice et gourmandise,
- Ne crains rien ! Et laisse ton corps parler !
- Effeuille mon corps, doucement, écarte mon voile de soie,
- Tu vois ! Il glisse consentant, trouble appel de mon corps dans la nuit.
- Ma langue se fait saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir si intense appuyé, infini,
- J'amène à toi, ma chair nue, mon corps déjà se fait dunes, vagues de sable chaud.
- Sous tes doigts pénétrants je te laisse franchir mes humides frontières.
- Devenue faible proie, je veux glisser avec toi dans l’ultime
Dans l’obscurité de sa chambre, son odeur m'envahissait. En un geste élégant, elle dégagea un pan de son voile, me laissant le soin de poursuivre cette douce tache. Penchée vers moi, alors que ses seins ballotants caressaient par instant mon torse, elle s’affaira à me déshabiller. Je découvrais alors la finesse et la douceur de ses mains, l'elegance de ses bas couleur chair légèrement satinés. Elle faisait glisser la paume de ses mains sur ma poitrine.
Elle avait des bras doux, des jambes fines, une taille étroite, un cou mince et élancé. En même temps elle portait fièrement les formes épanouies et sensuelles de la féminité accomplie. Ses hanches étaient bien dessinées, ses fesses étaient fermes, sa poitrine était généreuse. A cela s’associait cette voix chaude et cette élégance singulière qui ne pouvaient être que l’expression d’une maturité sereine. Je passais ma main dans ses cheveux puis je massais doucement sa nuque. Sa peau était d’une texture si agréable. Mes doigts se laissaient glisser sur son échine, que je ressentis parcourue d’un léger frisson. Elle me regardait de ses yeux azurs, profonds et limpides. lèvres pulpeuses et fines à la fois, esquissaient un sourire complice. Mes mains s’avancèrent vers elle comme pour enfin saisir les fruits défendus. Elle vint se blottir dans mes bras
- Je suis prête maintenant à me donner à toi, tel un cadeau sucré.
- Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise ? et ces frémissements qui n'en finissent pas ?
- Sens tu la chaleur de mon corps qui t'enveloppe doucement ?
- Je veux que tu m'aimes, sans retenue ! que tu me combles de tes prouesses,
- que tu dévores ma peau avec de tendres baisers. C'est si bon de s’abandonner !

- Dis moi tout bas tes plus folles pensées. Emmène-moi au paradis.
- Donnes moi de la magie, de la passion et du plaisir
- De ton corps, je veux tout ! Que tes lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent. -
- Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.

- Je veux sentir ton désir se dresser contre moi,
- Je veux que mes seins lourds que tu caresses et qui te troublent soient l’oasis de nos jouissances partagées.
- Je veux que mon corps chaud t'enveloppe, t’enflamme, qu'il te brûle.
- Je veux sentir ton sexe s'enfoncer dans ma chair,
- qu'il s'enfonce loin en moi, qu'il me pénètre, qu'il m'explore,

- Je veux que tu m'enflammes, que tu m'essouffles,
- Je veux que, dans mon nid parfumé, mouillé de mon nectar, tu te libères en moi
- Que tu me donnes ta sève chaude, ta liqueur douce amère, ton miel d'homme
- qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres au fond de moi.
- Je veux que tu m'inondes de toi !
- Viens et allons nous aimer sans tarder !
Bientôt une moiteur torride enveloppa mon sexe. Pendant quelques secondes nous étions immobiles l’un dans l’autre. Sa toison brune et soyeuse caressait mon bas ventre alors que les lèvres de sa bouche commençaient à s'emparer des miennes. Puis elle se fit coulisser sur moi. Ses fesses se mirent à claquer bruyamment contre mes cuisses. En même temps que j’empoignais fermement sa taille étroite elle se cambra légèrement. Ses seins splendides se mirent à ballotter librement sous l’effet de ses saccades, produisant un petit claquement sonore et sec. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Elle s’empalait maintenant de façon sauvage et désordonnée, mon sexe butant violemment sur les parois de son vagin. Bientôt je me vidais en elle à en perdre presque connaissance. Jamais je n'avais sentis des sensations si violentes traverser tout mon corps. Nous sommes restés ainsi immobiles pendant quelques secondes, l'un dans l'autre. Elle s’effondra littéralement sur moi. Je m'endormis ainsi comme englouti dans ses chairs.

Elle me déposa un délicat baiser sur les lèvres Puis elle est se leva, pour revêtir une tenue plus habituelle. au retour son buste était voilé d'une ravissante robe de nuit transparente qui magnifiait ses charmes plus qu'elle ne les cachait. Les mamelons de ses seins gonflés, à chaque mouvement de sa respiration caressaient le tissus léger . les contours des mamelons apparaissaient plus impudiques encore
à travers l'étoffe diaphane. Elle fit glisser sa combinaison moulante et vint s'allonger tout du long sur mon corps. Elle était près de moi, prête à s'offrir de nouveau, entièrement. je caressais son visage, m'attardais à frôler les contours de sa bouche. Ses lèvres entrouvertes frémissaient sous l'effet des caresses, elle se mis à me suçer les doigts, voluptueusement. Elle déposait sur mon cou de délicats baisers.