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samedi 06 juillet 2024 - 14h17rech / rep
cptr-c3-80 hop

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(taille reelle)
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Ma tante entra dans la chambre, s’approcha du lit, elle jeta un œil sur moi, et vint vers moi. Sa nuisette devoilait un soutien gorge de dentelle blanche bien rempli. Elle se pencha pour réajuster l’oreiller et, ce faisant, fit bailler son décolleté un peu plus, Sa poitrine imposante débordait du soutien gorge. Elle arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, Tatie poussa un petit soupir, elle se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche. Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande. Elle resta un court instant penchée sur moi et finit par se redresser.
- Allons, je dois te laisser dormir à présent.
Elle tourna les talons et quitta la chambre aussi doucement qu’elle était y était entrée. J'étais complètement ébranlé par ce qui venait de se produire, je finis par trouver le sommeil.
Un bruit de froissement de tissu me fit revenir à moi. Tatie se tenait devant mon lit. Elle était magnifique. Elle avait déboutonné sa robe, et reajustait sa poitrine dans son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement. Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite avant de la passer sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil
Plantée à côté du lit, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et s'installa à califourchon sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers son puit luisant. Elle se laissa enfoncer sur mon pieu et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés causés par les mouvements de mon sexe dans son vagin.
Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe de femme absorbant mon penis eut pour effet de m'amener une puissante éjaculation .Tatie eut un orgasme, ondulant du bassin, avec moi enfoncé dans son vagin, elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager sous peine de souffrir un maximum.

Lorsque je me réveillais, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur Tatie. Elle portait un plateau où se trouvaient, un petit déjeuner. Elle posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire. Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien.
- Tu as bien dormi, il faut te nourrir !
Elle prit place près de moi et me donna à manger. Sa chemise de nuit était ouverte sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous le fin tissu, ses cuisses étaient gainées de bas sombres. Il mangea tout. Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de lui Elle défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Elle ne portait pas de culotte. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire.
Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur,
puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base.
Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge,
mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds
Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter.
- Tu sais, Même si tu es faible, même si tu souffres, ta volonté, je suis là pour lui répondre et te remettre en forme.
Mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu, dans la convalescence.