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samedi 06 juillet 2024 - 14h17rech / rep
cptr-c1-09@ hop

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(taille reelle)
une odeur à la fois subtile et raffinée ()
Lorsque la porte s’ouvrit, mes sens furent impregnés de cette odeur à la fois subtile et raffinée. Elle était enveloppée d’une longue chemise satinée fendue sur le coté jusqu’à mi-cuisse, une peau somptueuse et blanche, de longues jambes fines et musclées. Elle m’accompagna et je pus observer à portée de mon regard ses formes moulées par le tissus luisant, alors qu’elle continuait à me parler de sa voix chaude, mon désir s'enflamma, sauvage, irraisonné. la beauté radieuse qu’elle offrait à ma vue, et le désir violent que j’avais pour elle s’imposaient à moi d’évidence. Sa poitrine souple et légèrement tombante, offrait de ravissants contours. Il faisait chaud.

Elle me fixa d'un étrange sourire et m'invita a monter avec elle. Dans l’obscurité de sa chambre, son odeur m'envahissait. En un geste élégant, elle dégagea sa jupe étroite de la main et fit apparaitre une ravissante combinaison blanche , Penchée vers moi, alors que ses seins ballotants caressaient par instant mon torse, elle s’affaira à me déshabiller. Je découvrais alors la finesse et la douceur de ses mains,l'elegance de ses bas couleur chair légèrement satinés. Elle faisait glisser la paume de ses mains sur ma poitrine. Elle avait des bras doux, des jambes fines, une taille étroite, un cou mince et élancé. En même temps elle portait fièrement les formes épanouies et sensuelles de la féminité accomplie. Ses hanches étaient bien dessinées, ses fesses étaient fermes, sa poitrine était généreuse. A cela s’associait cette voix chaude et cette élégance singulière qui ne pouvaient être que l’expression d’une maturité sereine.

Je passais ma main dans ses cheveux puis je massais doucement sa nuque. Je contemplais son dos, les courbes de ses reins Alors qu’elle me déposait de petits baisers, je caressais maintenant ses épaules et son dos. Sa peau était d’une texture si agréable. Mes doigts se laissaient glisser sur son échine, que je ressentis parcourue d’un léger frisson. Elle m’embrassa la nuque, et bientôt flatta de petits coups de langues circulaires le lobe, puis le creux de mon oreille. Le souffle chaud de son haleine me fit tressaillir et en un geste réflexe je m’agrippai à son bras. Elle me regardait de ses yeux azurs, profonds et limpides. Ses lèvres pulpeuses et fines à la fois, esquissaient un sourire complice. Mes mains s’avancèrent vers elle comme pour enfin saisir les fruits défendus. A l’instant où mes doigts effleuraient le dessous de ses seins doux et souples, elle glissa sa main dans mes cheveux. Je malaxais la surface tendue et souple à la fois de ses seins chauds et moites. Elle vint se blottir dans mes bras, sa poitrine contre mon torse. Ses cuisses chaudes et humides emprisonnaient les miennes. Son sexe brûlant était placé juste au contact du mien. Elle approcha alors sa bouche pour m’embrasser avec sensualité. Elle suça ma langue comme un sucre d'orge. Son souffle chaud me caressait les lèvres. Bientôt une moiteur torride enveloppa mon sexe. Je sentis sa vulve glissante autour de mon gland. Pendant quelques secondes nous étions immobiles l’un dans l’autre. Sa toison brune et soyeuse caressait mon bas ventre alors que les lèvres de sa bouche commençaient à téter les miennes. Puis elle se fit coulisser autour de ma verge. Ses fesses se mirent à claquer bruyamment contre mes cuisses. En même temps que j’empoignais fermement sa taille étroite elle se cambra légèrement. Ses seins splendides se mirent à ballotter librement sous l’effet de ses saccades, produisant un petit claquement sonore et sec. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Elle s’empalait maintenant de façon sauvage et désordonnée, mon sexe butant violemment sur les parois de son vagin. Bientôt je me vidais en elle à en perdre presque connaissance. Jamais je n'avais sentis des sensations si violentes traverser tout mon corps. Nous sommes restés ainsi immobiles pendant quelques secondes, l'un dans l'autre. Elle s’effondra littéralement sur moi. Je m'endormis ainsi comme englouti dans ses chairs.

Elle me déposa un délicat baiser sur les lèvres Puis elle est se leva, pour revêtir une tenue plus habituelle. au retour son buste était voilé d'une ravissante nuisette transparente qui magnifiait ses charmes plus qu'elle ne les cachait. Les mamelons de ses seins gonflés, à chaque mouvement de sa respiration caressaient le tissus léger . les contours des mamelons apparaissaient plus impudiques encore à travers l'étoffe diaphane. Elle fit glisser sa combinaison moulante et vint s'allonger tout du long sur mon corps. Elle était près de moi, prête à s'offrir entièrement. je me mis à caresser son visage, pour m'attarder à frôler les contours de sa bouche. Ses lèvres entrouvertes frémissaient sous l'effet des caresses, elle se mis à me lécher les doigts puis à les sucer voluptueusement. Elle commença alors à caresser mes testicules, puis ma verge. Elle déposait sur mon cou de délicats baisers me caressant ensuite l'intérieur des cuisses
- Penetre-moi, je veux te sentir profondément
Le fourreau de sa vulve brulante enveloppa vite mon sexe dressé. Puis, par des mouvements imperceptibles de ses reins, elle fit coulisser ses chairs intimes sur mon sexe. Je glissais mon sexe en elle sans trop de résistance, je coulissais délicieusement dans ses chairs.
- Vas-y, plus vite, je veux sentir ta chaleur liquide !
Bientôt je jouissais en elle, longuement.