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samedi 06 juillet 2024 - 14h45rech / rep
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(taille reelle)
Marie et Louis ()
Louis est un bel homme de 55 ans, veuf depuis quelques années. J'étais une amie de sa femme, depuis, j'aidai Louis à l'occasion dans ses taches ménagères mais aussi parfois en lui préparant quelques plats de temps à autre. Louis aimait la compagnie, et même, je ne l'avais pas compris tout de suite, attendait peut-être un peu plus de moi. Je lui disais qu'à l'occasion je viendrais un soir parler avec lui un peu plus longtemps. Nous étions dans le meme immeuble, ce qui facilitait les choses. Ce soir là, j'étais en chemise de nuit, sur le point de me coucher lorsque Louis m'appella et me demanda si j'étais disponible pour bavarder un moment avec lui. Je lui ai répondu que j'étais déjà en tenue de nuit, mais il me répondit que cela ne le dérangeait pas. Mais lorsque je suis arrivé dans sa chambre, j'ai bien vu dans son regard que ma tenue ne le laissait pas indifférent. Je me suis assise à coté de lui, lui diffusant sans m'en rendre compte des effluves de mon parfum sur son visage. Mes seins, enveloppés dans ma robe de nuit de soie, étaient à proximité immédiate de son visage, et ses lèvres venaient par moments effleurer le tissu, me provoquant immédiatement une salve de frissons. Il était vraiment blotti tout contre moi. Cette proximité me donnait soudain des envies de le sentir un peu plus contre ma peau.
- Marie, vous êtes si gentille avec moi !
- Mais Louis, j'aime bien être avec vous !
Je ne sais pas ce qui lui a pris alors, il m'a embrassé sur le tissu de ma robe de nuit, j'ai alors dégagé ma bretelle et dégagé un sein que j'ai livré à ses lèvres chaudes. le contact de sa bouche sur ma poitrine était d'une douceur incroyable, tres sensuelle.
Je lui diffusai sans m'en rendre compte ma souffle et mon parfum. J'ai alors senti plus nettement son désir s'affermir contre ma cuisse. Il finit par m'avouer sa gêne:
- Marie, vous déclenchez des réactions que je n'arrive plus à cacher. Veuillez m'en excuser.
- Ce n'est pas un problème Louis. J'en suis plutôt flattée ! Je vous pardonne bien volontiers !
Il était arrivé à me faire fondre de confusion. J'ai alors ressenti, paniquée, que mes seins réagissaient à son contact, mes pointes étaient en saillie sous la soie. J'ai tenté de me séparer de lui, mais il m'a retenue contre lui.
- Marie ... Pardonnez moi cette audace, mais je voulais vous demander quelque chose ...
- Oui Louis ?
- .... Vous êtes là ce soir, si douce, à coté de moi ! ... Et je n'ose vous demander ...
il commencait à caresser doucement ma poitrine, les bretelles étaient tombées sur mes bras, et laissaient ma gorge à la portée de sa bouche. Je le regardais avec tendresse en souhaitant qu'il me livre le fond de sa pensée
- Louis ! Que vouliez vous me dire ?
- Marie, ... Voulez-vous rester avec moi cette nuit ?
Je sentais ses mains caresser doucement mon dos. J'avais le vertige. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud. J'étais d'un coup desatabilisée par sa demande
- Louis, Est-ce bien raisonnable de provoquer le désir d'une femme comme moi ?
- Marie ! Il y a si longtemps que je n'ai pas ressenti un tel désir. Et c'est vous qui le provoquez !
Il me poussait à bout. J'ai alors pris les devants et j'ai posé mes levres sur les siennes, doucement d'abord, puis de manière plus appuyée. Il s'abandonnait à mon baiser. Sa main au bas de mon dos retroussait le bord de ma chemise de nuit. Il me serrait contre lui. J'étais en train d'accepter tout de lui. Il m'affolait litteralement.
- Louis, je suis bien avec vous ! mais je suis un peu bouleversée par ce que vous me demandez !
- Marie, je pense à vous depuis longtemps et particulièrement en ce moment. Excusez mon audace !
- Louis, bien sur que vous ne m'êtes pas indifférent. Que puis-je vous dire ?
- Repondez moi tout simplement. Je ne serai pas offusqué si vous dites non.

J'eu alors une intense envie d'assouvir mon attirance violente pour ce beau corps de senior qui m'attirait beaucoup plus que je ne le pensais. Son sourire fut une injonction impérative a une réponse positive.
- Louis .... Regardez moi ! ... Vous voulez vraiment ? Vous voulez que nous vivions ensemble ce moment ?
- Marie, Je vous sens si proche ! me répondit-il en me caressant le visage
- Vous voulez bien de moi ? ce soir ? ... dans votre lit ?
Je l'ai regardé intensément dans les yeux ... puis j'ai soulevé le drap, et je me suis glissé auprès de lui. Je me suis blotti dans ses bras, au contact direct de la chaleur de son corps.
- Louis ... Votre corps est tout chaud ! Merci de m'accueillir ! Je suis bien avec vous !
- Oh Marie, c'est si bon de vous sentir si proche !
- Louis ! Je vais vous faire un aveu ... depuis longtemps, je pense moi aussi à ce moment !
Il m'a souri de ses yeux legerement embués. Je lui ai caressé, le torse, le ventre, puis ma main s'est glissée plus bas ... j'ai pris doucement sa verge, déjà bien bandée, en pratiquant sur elle un tendre et doux massage qui eut pour effet de la raffermir de plus en plus.
- Marie, vos caresses sont terribles, elles me mettent dans tous mes états !
Il semblait épanoui, comblé. J'ai alors rapidement retiré ma chemise de nuit et je me suis allongée sur le dos, nue, les jambes légèrement écartées, je lui ai souri, et je me suis tournée vers lui
- Louis ! ... Je suis prête ! Et je crois que vous aussi ! lui ai-je avoué avec un sourire en signe d'invitation à venir me rejoindre. Il m'a alors embrassé longuement, puis il s'est installé sur mon corps, Je l'ai aidé à venir en moi en guidant sa dure et longue verge qui a rapidement trouvé sa voie,
- Oh Marie ! Vous êtes si douce ... et onctueuse !
- Louis ! Je vous accueille, avec toute ma tendresse ! Je vous offre mon corps ! ...
- Entrez doucement ... pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
il s'est alors enfoncé doucement dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui, telle un offrande. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage,
- Louis, vous me faites du bien, vous savez ! Il y a si longtemps !
- Marie ! ... C'est si bon ! Je sens vos douces caresses intimes ! Je suis si bien avec vous ! Quel bonheur !
- Louis, Je vous offre mon corps, et vous m'offrez le votre ! Je suis une femme comblée
- Marie ! Donnez moi vos lèvres ! Et votre bouche !
Je les lui offrais bien volontiers et notre baiser fut d'une sensualité profonde et intense. Puis il a entamé naturellement un merveilleux mouvement de va et vient, rythmé par la cadence des appels de mon bassin. Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, agaçant gentiment mes mamelons, il malaxait avec douceur mes seins devenus deux boules de jouissance en finissant par rejoindre ma bouche pour un long baiser. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre ... encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre,
Je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement sensuel. Il plongeait en moi et gonflait en meme temps. Sa verge occupait mon espace tout entier. Il s'est mis alors à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient.
- Marie ! ... Je crois que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps !
- Louis, ... pas trop vite ! J'ai encore besoin de vos douces et profondes caresses !
Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. il continua ses va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin me faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses.
- Louis ... Je suis prête ! J'ai envie que vous veniez !
Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Oh ... Louis ! ... Maintenant ! ... Venez vite !
- Marie vous voulez que je me retire ?
- Non Louis ! Je veux toute votre joie ! au fond de mon ventre !
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait, Ce fut un signal pour lui, Je l'ai senti trembler et se figer au fond de moi. Puis il s'arrêta net et crispa son regard.
- Marie ! ... Ohhh Marie ! ....
Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. Une série de spasmes m'envahissaient au même moment.
- Oh Louis ! ... C'est si bon ! ...
Je sentis un flot me remplir. J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu.
- Oh Marie !! .... me lança-t'il dans un râle profond juste avant de s'écrouler sur mon corps. Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux.
- Louis ! ... Je suis remplie de vous ! Vous me comblez !
Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon bel homme planté en moi. Louis continuait à me limer doucement, son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement sa bouche pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé à mes cotés. J’étais aussi épuisée que lui. Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau.
- Louis ! Vous êtes si tendre, si genereux et desirable ! ...Vous m'avez comblée.
- Marie ... Vous pleurez ?
- Ne vous inquiètez pas de mes larmes. Je pleure de joie.
- Vous êtes devenu ce soir mon bel et merveilleux amant !
- Marie .... Je vous aime !
- Louis, je vous garde en moi encore quelques instants, Ne bougez pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule.
Puis il s'est retiré de moi, lentement, ma vulve encore imprégnée de nos sécrétions amoureuses qui coulaient sur mes cuisses, sur les draps. Mes seins étaient couverts de marques de ses douces succions. J'étais encore toute ouverte. Il gisait sur le lit avec son sexe mouillé posé paisiblement à travers son bas-ventre.

Louis devint ce soir là mon bel et merveilleux amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.
Il était encore vigoureux, infatigable de son corps. Ses premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore parfois, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Il était malhabile. Je le fis passer pour un amant exemplaire, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.