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samedi 06 juillet 2024 - 15h06rech / rep
bath-12-0debryo copie

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(taille reelle)
Marthe sous la douche ()
Marthe était déjà sous la douche quand elle m'appela
- Tu viens mon chéri ?
Je la rejoignis et nous nous sommes tout de suite serrés l'un contre l'autre sous le jet bienfaisant. Marthe était splendide dans sa maturité, des formes divines, une poitrine genereuse et legerement mobile ... j'avais le tournis. Nos deux corps au contact, elle me donnait des sueurs froides, elle me chuchotait
- Serre toi contre moi !
elle s'inquiétait pour moi ce qui me troublait de plus en plus, elle s'enlaça autour de moi, son corps vint se blottir contre moi, sa poitrine s'écrasa contre mon torse, son bassin se plaqua au mien et elle ondula très lentement sur le slow. Au gré de nos mouvements, sa cuisse s'intercalait doucement, puis plus précisément entre mes jambes Mon sexe tendu comme un arc, se levait entre ses cuisses, elle ne pouvait pas ne pas le sentir. elle rejeta alors son visage en arrière en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine, son bassin bascula un peu plus vers l'avant, ses reins se creusaient.
- tu es bien avec moi ? Detends-toi bien, serre moi dans tes bras
Sa main me plaqua les reins contre les siens, son corps tout entier était collé contre le mien, son ondulation lente mais appuyée m'enflamma encore un peu plus le bas ventre. Je devenais rouge de confusion sentant mon désir me trahir tellement nous étions proches. Marthe faisait mine de ne rien remarquer, sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes, sa main me maintenait bien contre elle, sa poitrine s'écrasait contre moi et elle reculait à peine son visage pour me parler en dansant. Son parfum m'enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. N'y tenant plus, Je la saisis à pleine main, en la pressant contre moi et en laissant glisser mes mains sur ses fesses rebondies. Elle recula à peine son visage, me fixa l'air un peu interrogateur mais m'adressa un sourire sans équivoque. Je caressais à présent avec douceur ses fesses rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus, quand tout à coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin.
- je te sens bien ...
Je l'entendis alors gémir comme si elle prenait du plaisir à se masturber sur moi. J'entrepris alors d'avancer mes mains sous ses fesses. Elle les souleva legerement, je plaçais alors une main entre ses fesses, elle maintenait ses fesses ecartées. Elle jouissait et gémissait de façon très perceptible, et soudain ... d'un mouvement, elle souffla à l'oreille
- Tu sens ? je suis toute ouverte ! ... Viens ! Viens vite !
et je sentis alors mon sexe dirigé vers elle et ... littéralement gobé, aspiré en elle. Je la pénétrais plus profondemment, en de lents et puissants mouvements
Elle ondulait de tout son corps. Elle se mordait les lèvres. Mes penetrations furent de plus en plus rapides, de plus en plus profondes, de plus en plus violentes. Je sentaiss ses muscles se tendre, son corps s’arquer, les veines de son cou se gonfler, son souffle manquer.
J'accelere mes va et viens. Je lui pétris les seins. Elle s'accroche à mes épaules, Mes tempes claquaient, ma tête tournait. La chaleur montait en moi comme une sève brûlante. Elle râlait de plus en plus. Je me retenais .... Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes.
Ses mains sur mes fesses m'incitaient à aller de l'avant, je la pénétrai jusqu'à la garde, elle respirait fort. Scene incroyable, là, plus bas, mon sexe était bel et bien fiché au fond de son ventre, soumis a de douces caresses intimes sous formes de contractions irrésistibles. Elle serrait et desserrait doucement ses muscles vaginaux, et mon penis se gonflait de plus en plus dans son ventre. Un plaisir raffiné, délicat et de plus en plus excitant. Ses mains posées sur le bas de mes reins accentuaient notre très léger mouvement de va et vient,
- Mets le moi bien profond !
Je vis dans ses yeux qu'elle était à deux doigts de jouir, Ma verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond d'elle. Mon sexe continua encore et encore, tout doucement mais sûrement, son travail de sape, ne pas se laisser aller, ne pas crier. Elle me fixa un moment de maniere crispée, se mit à trembler avec un regard vitreux et elle jouit devant moi en serrant les dents.
- Ooohh ...ouiiiii... Tu me rends folle !
Prise de secousses incontrôlées, elle cachait difficilement ce qu'elle était en train de vivre je ne pus me retenir longtemps, J'explosais alors au fond d'elle, deversant mon foutre en plusieurs giclées. Cet orgasme aussi violent qu'inattendu lui avait coupé les jambes, elle était pantelante contre moi. Nous restions un moment inertes, tetanisés
- Oh ! Que c'était bon ! me souffla-t'elle dans les oreilles
Il fallait passer desormais à la partie la plus difficile de l'opération, le désarrimage pour elle, pas de problème, mais pour moi, il fallait attendre que mon enorme tige se degonfle. Je la sentis doucement se retracter entre ses chairs intimes, c'etait suave ! Mon sexe s'extirpa de son ventre dans un bruit de succion franchement indécent. Elle s'essuya discrètement et m'invitai à venir dans son lit sans plus tarder.
Je sentais ses sécrétions mélangées au miennes couler le long de mes cuisses. C'était un peu d'elle qui coulait sur mes jambes ! à peine arrivés, elle tomba avec moi sur le lit. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activaient sur ses seins, j'embrassai, je lèchai longuement, puis je descendais ma main plus bas. Ma langue s'activait, tandis que je prenais en mains des fesses dignes d'une déesse. Les gémissements de Tania augmentaient en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachaient presque les cheveux. Et j'entrais doucement dans sa douce intimité, couché sur elle nous fîmes l'amour comme des bêtes. Après une interminable ondulation du bassin, elle jouisait en de longues plaintes et je me deversais en elle. Nous avons fait l'amour toute la nuit