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samedi 06 juillet 2024 - 14h14rech / rep
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(taille reelle)
une sirene nommée Vanessa ()
Une sirène, troublante, entièrement nue dans l'eau claire de cette grande piscine. Cheveux bruns, des beaux seins, ronds et souples qui flottent nus entre deux eaux, libres de tout maillot, Des courbes ondulantes dans les reflets liquides. Elle doit avoir 20 ans, une peau lisse, délicatement bronzée. Elle est belle, elle est chaude, elle a des formes rebondies. Elle provoque mon émoi, je bande sans détour, elle le voit. Les derniers baigneurs sont partis. Nous restons seuls, face à face. Elle me nargue et m'interpelle.
- Tu viens ?
Je me glisse dans l'eau fraiche, je m'approche. Son visage ruisselant est maintenant à dix centimètres du mien. Elle me fixe un long moment qui me semble une éternité. Puis, subitement, elle se rapproche, prend mes lèvres et me roule une pele magistrale pendant au moins 30 secondes. Je sens alors sa main frôler mon maillot de bain qui a doublé de volume. Elle sourit et sans attendre de reponse, elle repose ses lèvres sur les miennes. Je ferme les yeux et goûte la fraîcheur de sa bouche. Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande ... à la limite de l'indécence. Elle s'en rend compte, me regarde fixement avec un léger sourire gourmand et plaque son ventre et le frotte contre mon maillot.
- Je m'appelle Vanessa ! Et toi ?
Elle palpe sans pudeur mes reliefs, durs comme du bois.
- C'est pour moi tout ça ?
Elle fait aller et venir son bassin sur mon ventre. Elle est chaude, ses seins me narguent, je bande douloureusement. Je finis par toucher ses belles poitrines flottantes. Je les pétris,
Je sens sa main plus bas qui capture mon sexe, le branle, et d'un coup, se l'enfile dans ses chairs. Je me sens aspiré, avalé, suçé, absorbé. Je glisse dans son ventre chaud, une pénétration franche, un rythme lent au début. Je m'enfonce un peu plus.
Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux. Elle soupire, la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant… Ses cuisses ruissellent de son jus, mon sexe coulisse en faisant de delicieux bruits de succion. Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche. Elle me pompe avec vigueur en me malaxant les bourses. Nous accélérons l'un et l'autre la cadence, nous voulons tous les deux jouir ensemble et sans retenue. Elle grogne, elle est à moitié partie, elle va venir… des spasmes secouent son corps. J'attend la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, et je me lache. Rendu au point extrême où tous les sens explosent, je lui dis mon envie d'enfin la satisfaire et en son trou, offert, je me répands enfin en une apothéose …Je libére ma sève et lui remplit le ventre, abondamment.

Elle me sourit, se rhabille rapidement et me donne son numéro de chambre.
Je retourne à ma chambre, petite douche, et je me dirige vers la chambre 33. Je frappe. J'ouvre. Elle est allongée sur son lit, complètement nue. Elle me provoque et elle réussit. La bandaison est repartie ! Elle m'attends, toute ouverte. Je m'exécute et me glisse sur elle. Elle se coule contre moi. Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail. Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force. Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement, son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses, Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint. Elle se cambre et me repousse un moment pour vérifier l'état de mon désir. Mon sexe se dresse droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant. Elle le saisit, se l'enfile sans attendre. je sens monter en moi une perte de contrôle… elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite, je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie. Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu, le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque. Je jaillis d'un coup par saccades riches et amples. La grande explosion nous laisse complètement épuisés. Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre. Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres, caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre…
Puis elle se relève, prend ses affaires et m'annonce
- Viens ! Je veux te présenter à ma mère, en general, elle a les memes gouts que moi