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samedi 05 octobre 2024 - 09h04rech / rep
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(taille reelle)
after love ()
Je revenais lentement à la réalité et je laissai glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard de mon homme planté en moi. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. je réalisais ce que nous avions fait. et regardais entre mes jambes ouvertes. Il continuait à me limer doucement son sexe encore partiellement en moi, diminuant doucement de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi, bougeant doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement, léchant doucement mes seins. J'ai senti que son membre recommençait à durcir encore. Mes hanches ont recommencé à venir à sa rencontre. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte sensuelle, langoureuse. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, baignés par nos liquides amoureux nos corps collés l'un contre l'autre.
Les dernières caresses de son sexe ramolli me comblait de bonheur. Je caressais doucement les cheveux et la nuque de mon délicieux amant,l'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte. Les spasmes finis, sa queue glissa hors de moi, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Il me laissait ouverte comme jamais, obscène presque, Nous sommes restés un long moment couchés cote à cote, épuisés, nous caressant sensuellement, nous enlaçant à nouveau.
Il fut mon bel amant, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donna et prit sans retenue. Il usa, abusa de mon corps,de mes sens, de mes forces. Je lui appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je lui offrais ma bouche, mes mains, mon ventre et mes reins.

Louis fut tendre et vigoureux à la fois, infatigable de son corps. Ses jouissances furent intenses, furent violentes. Les miennes furent sauvages. J'entends encore résonner mes gémissements, mes cris rauques quand je le sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps, Il me remercia de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentait. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. J'avais été là au bon moment, où il avait besoin de se sentir mâle.



- Louis, au bureau, j'ai souvent rêvé de vous ouvrir mes cuisses pour que vous veniez vous y glisser et vous abreuver du plaisir que nous nous sommes donné.
J'ai alors écarté mes cuisses avec une indécence suffisamment calculée pour qu'il découvre ma fente gourmande. Le regard qu'il me porta alors oscillait entre admiration et exploration. Cette femme offerte qu'il allait honorer, c'était moi, j'étais en train de me donner à lui, là sous ses yeux ébahis et brillants de désirs intenses. Son approche était encore malhabile, timide, mais mon regard reflétait un encouragement à plus d’audace de sa part. Je le regardais fixement, dans l’attente discrète qu'il m'appose ses lèvres sur mon sein, puis sur mes lèvres intimes, émouvantes tant elles lui étaient offertes, insolentes, presque scandaleuses. S’approchant doucement de mon trésor, entre mes cuisses ouvertes, il s’est alors délecté de cette humidité entourant mon bouton merveilleux, gorgé d’impatience.