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samedi 06 juillet 2024 - 16h11rech / rep
--adlt-12-misscomme une fleur2

--adlt-12-misscomme une fleur2
(taille reelle)
Mon corps peu à peu s'est offert ()
Mon corps peu à peu s'est offert à lui, telle une fleur au printemps. j'étais bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Il m'a pénétré doucement, tendrement, dans mon ventre chaud et etroit, son souffle était lent. Il s'est enfoncé dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Plus il me pénétrait, plus son souffle était long et profond. Lorsqu'il atteignit le fond, il resta un moment en moi sans bouger, j'avais les yeux fermés, j'étais offerte, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de sa douce penetration. Il passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage. Doucement le rythme s'accélère, j'étais maintenant totalement offerte, chaude et douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sentis en lui venir le plaisir, l'envie de s'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore. Lentement, il s'enfonça de nouveau dans mes entrailles, c'était une sensation d'une douceur infinie. Je fermais les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements se firent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un délicieux bruit de succion. sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Il s'inquièta de moi:
- Tu es bien ? ... Tu veux...maintenant ?
- Non ... Pas encore ... Continue tes douces caresses !
Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regardait avec tendresse. Nos regards se souderent l'un à l'autre. puis il accéléra, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me concentrai sur ce membre qui me fouillait et que j'aimais. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple.
- Je sens que je viens ! Tu veux que je me retire ?
- Non ! Reste !
La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrai, il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net, tendit ses muscles, bloqua sa respiration et crispa son regard .....
- Marie ! ... Je viens !
- Oui ! Vas-y ! ... Bien au fond !
Je sentis alors un flot de me remplir, comme inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Puis, il s'effondra, avec des grondements d'ours blessés.
- Oh Marie !
Des voiles se refermerent, la tension se relâcha, sa chaleur humide s’épancha de mon corps. Ma respiration se fit profonde, le calme revint... Progressivement, tout retomba... Il resta planté en moi, immobile ... Une lourdeur pesante envahit mes membres. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... nos corps étaient repus... Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inonderent mes paupières.




Que mes seins te provoquent. Je veux ta rage. Je veux voir tes yeux s'épaissir, tes joues blanchir en se creusant. Je veux tes frissons, que tu éclates entre mes cuisses, que mes désirs soient exaucés sur le sol fertile de nos corps sans pudeur.

Joyce Mansour