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samedi 06 juillet 2024 - 16h04rech / rep
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(taille reelle)
en apportant le courrier ()
J'apportai les journaux dans ce petit pavillon. Une belle femme au sourire un peu triste vient m'ouvrir. Elle venait chercher son courrier… Environ 40 ans, des cheveux bruns sur ses epaules, un corsage discretement échancré qui laisse deviner de jolies rondeurs. Je dois lui faire signer un reçu de lettre recommandée. Elle me regarde avec une intensité qui me trouble et m'affole un peu. Je lui presente la lettre et le reçu. Elle se penche pour signer, devoilant sous une gorge troublante la naissance de deux seins genereux. J'ai chaud. Je sens un entetant parfum et le fugitif contact de sa peau. Je perds tous mes moyens. Elle rapproche son corps et son sein s'appuie maintenant sur mon epaule. J'engage la conversation pour me donner une contenance:
- Vous êtes seule dans cette grande maison ?
- Oui. La solitude me pèse. Vous voyez, votre présence me change les idées.
Son sourire me déstabilise au plus haut point. Elle prends la main affectueusement pour appuyer son souci de parager sa solitude, je la prends pa le bras pour la rassurer. Elle me remercie de ma bienveillance. Quelque peu troublé, je m'écarte pour reprendre mes esprits.
- Je m'excuse, mais je dois continuer ma tournée !
- S'il vous plait ? Je vous en prie ! restez un moment !
Je ne sais plus quoi faire ! Je n'en peux plus. Elle approche son visage, puis attire mon visage vers le sien, elle me donne ses lèvres ..... et sans attendre, s'abandonne dans un long baiser qui me laisse figé
- Je m'appelle Louise !
Elle me prend la main et m'entraine chez elle, dans sa chambre, referme la porte et me tend de nouveau ses lèvres. Le baiser est intense. Je caresse en même temps la soie de son chemisier, j'y insinue ma main. Je découvre ses seins, les explore tendrement, ceux-ci, très sensibles, se raffermissent sous la caresse, je sens ses pointes se dresser sous mes doigts. Sa main palpe la bosse à travers l’étoffe rugueuse de mon pantalon. La mienne descend à présent sur la soie de sa combinaison, se glisse dans la fente du tissu pour caresser la peau, toujours lentement, elle remonte sa cuisse, sa peau est chaude et douce. mes doigts atteignent sa douce lingerie intime. Sous la caresse, ses cuisses s’ouvrent et son bassin s’avance, impatient,
Je m'aventure, je glisse une main moite et tremblante. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu, j'ai l'impression que sa poitrine gonfle sous son décolleté. Ma main s'égare sur la cuisse, encore couverte du tissu soyeux, nouvelle barrière infranchissable ... Puis ma main avance, cavalière, indiscrète, trop rapide peut-être, trop pressée, trop empressée ... elle est déjà sous le tissu, au contact de sa peau douce ... et chaude. Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Mes doigts tentent d'épouser la forme ... le tissu gêne, les cuisses s'écartent, se resserrent sur ma main... qui reste prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent de nouveau, un premier soupir, une vague de désir.
je sens le désir monter profondément de mon ventre et du sien. Franchissant l’ultime barrière du léger tissu, mon doigt se pose sur sa vulve, toute humide, je la masse par de petits mouvements circulaires.
Asphyxiée par l’émotion, elle bascule sa tête en arrière pour reprendre son souffle.
Elle souleve son bassin afin de m'aider à retirer sa combinaison. Je fais glisser son petit slip le long de ses cuisses, pour le laisser tomber au sol, mes mains viennent se glisser sous ses fesses et s'introduisent dans sa fente, elle ressent une violente sensation, une décharge électrique un orgasme semblant durer une éternité envahit son corps entier, la déchire, lui arrache des cris, je la maintiens fermement par les hanches, des spasmes parcourent encore ses muscles. Les contractions s’espacent. J'en profite pour l'allonger sur le lit et la rejoindre. Je recommence alors à stimuler le clitoris, d’abord imperceptiblement, puis plus rapidement. A l’aide de petits mouvements rapides, je la fais alors jouir une deuxième fois, aussi fort que la première, elle s'est raidie, au bord de la crampe, son corps est retombé ensuite, s’abandonnant à la douce torpeur qui suit une telle explosion d’énergie.
Quand elle rouvre les yeux, je suis penché sur elle, je lui souris en lui caressant la joue, nous echangeons un long regard, elle me sourit, ma bouche vient se poser sur ses lèvres, ses mains s’aventurent sur ma peau. Nous nous embrassons pendant que mes mains la caressent, la palpent, la fouillent !
Enfin, elle me guide et je la pénètre profondément. Elle sent qu'elle ne va pas tarder à jouir encore ! Je redouble d’ardeur, elle sent ma verge aller et venir de plus en plus vite. Elle sent mon sexe aller et venir si délicieusement en elle. Elle est comblée. Je la prend de plus en plus vigoureusement, elle se met à gémir, je redouble d’ardeur, je vais et je viens de plus en plus vite le long de son vagin tendu et luisant. J' explose enfin, en criant ma jouissance, elle vient en même temps. Elle me caresse les bourses. Je me cabre et m'enfonce au plus profond de son vagin, je répands ma semence chaude, au fur et à mesure de ses spasmes.
L’extase terminée, nous nous ecroulons, terrassés par un nouvel orgasme,
exténués et heureux.