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samedi 06 juillet 2024 - 15h31rech / rep
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(taille reelle)
aventure d'un soir ()
Nous sommes assis, face à face, sur la terrasse de l'hôtel, sous un doux clair de lune. Je lui parle ... de tout, de rien, elle m'écoute avec attention, comme si elle buvait mes paroles. Elle semble empruntée, émue, fascinée par mon regard ... Assis face à face, nos genoux sont au contact. Elle ne fait rien pour éviter ce contact. Vais-je plus loin ?
Tout en continuant à parler, mes yeux dans les siens, comme pour appuyer mes propos, je pose gentillement une main sur son genou dénudé. Elle me laisse faire. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu. Son regard devient étrangement brillant, j'ai l'impression que sa poitrine gonfle sous son décolleté. Tout en parlant, une de ses mains se pose alors sur la mienne semblant m'encourager à poursuivre. Ses yeux brillent un peu plus. Puis ma main avance, cavalière, indiscrète, trop rapide peut-être, trop pressée, trop empressée ... elle est déjà sous le tissu, au contact d'une peau douce ... et chaude. Elle ferme les yeux. Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Mes doigts se glissent un peu plus, enveloppent, épousent, ses cuisses s'écartent ... puis se resserrent sur ma main... qui reste prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent de nouveau, un premier soupir, une vague de désir. Elle s'ecarte comme si elle voulait reprendre ses esprits
- Vous m'excusez, mais je dois aller me coucher. Je crois que c'est plus raisonnable. Demain je dois me lever tôt
Et elle se lève, se penche vers moi, et me dispense un long baiser sur mes lèvres avant de s'eclipser. Je reste là seul, un peu déconfi et surtout déçu de voir s'achever si tôt une soirée qui s'annoncait prometteuse. Je m'installe au bar ppour prendre un scotch à titre de consolation d'un contact trop rapude. C'est alors que mon telephone vibre .... un message couyrt apparait sur l'écran: :
- Je suis chambre 132 ... Vous venez ?
J'arrive devant sa chambre, elle m'ouvre, me prend la main et m'attire à l'interieur, accrochant derriere moi la petite pancarte "do not disturb". Nous sommes dans sa chambre, la porte est refermée, Nous nous sommes face à face, les yeux dans les yeux, ma main toujours dans la sienne, elle approche son visage, tend ses lèvres en regardant les miennes. Nos lèvres se rejoignent, c'est un premier baiser. Sa langue fraîche et un peu maladroite, comme la mienne, se rejoignent. Ses lèvres sont tendres, mes mains me démangent, glissent dans son dos, encore couvertes du corsage de soie. A travers le tissu soyeux, le léger relief du soutien-gorge. Passer la main dans le dos, remonter vers la nuque... toucher les cheveux, revenir sur le cou... Ne jamais forcer ni brusquer... Prendre son temps. Nos corps sont au contact, se cherchent, s'électrisent. Ma main caresse son cou, descend, s'immisce doucement dans l'entrebâillement du chemisier. Sa peau, douce, voilée d'une très légère transpiration. Le contact de son sein à travers le tissu sage du soutien-gorge. Comment faire ? C'est elle qui prend les devants. Ses doigts glissent sur ma chemise, défont un bouton, puis un autre, un à un, j'ecarte doucement son corsage. Je suis sous le coup de l'émotion, le chemisier s'ouvre. Vision et découverte d'une splendide gorge, mes yeux ne savent plus où regarder : le visage de celle qui se dévêt pour moi, ou les épaules nues, légèrement en avant, ou cette poitrine qui va se libérer, pour moi.
Ses lèvres se recollent aux miennes... Ma main, encore timide, effleure avec douceur le sein. Chaleur du contact de la peau, marbrée des liens d'attaches. Douceur satinée de cette peau fragile et que l'on découvre. Descente vers un ventre chaud. Jeu de doigts. Découverte des corps. Charme du contact peau à peau... Exaspération des nerfs, des sens. Et nos bouches qui se soudent. La robe qui se relève sur les cuisses. Jambes qui s'écartent, culotte de soie qui glisse discrètement, Tension extrême dans mon pantalon... je tente de reprendre mon souffle, mes esprits. Instants magiques où son corps apparaît nu, vulnérable.
Ma main tremblante avance vers ses flancs, vers le ventre, peau de pèche, velouté. Contact soyeux avec la peau douce. La main glisse et s'égare, les cuisses s'ouvrent. Les doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, tant espéré, tant convoité. Ici, si délicatement offert. Doigts gênés qui se perdent dans les plis et les replis, s'égarent et avancent en terrain inconnu.
Raidissement soudain du corps feminin, forme de tétanie passagère surprenante. Regards dans les yeux. Continuer ? C'est elle qui le demande c'est elle qui prend en main les choses, parle, attire ma tête dans son cou et susurre à mon oreille. Elle dirige ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Elle me nomme les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir. Elle me serre contre elle. Contre mon buste, sa poitrine chaude, ses seins qui me semblent plus fermes. Mon nez se noie dans sa chevelure blonde. Ses bras m'enserrent, m'étouffent presque. Contre sa cuisse, mon sexe, raide, a déjà des soubresauts... Il fait mal à force d'être excité... Premiers gémissements de son plaisir trop rapidement atteint, pas tenu, et déjà retombant. Et la main devient de plus en plus autonome, audacieuse.
C'est elle qui semble maintenant commander. sa langue me fouille, plus loin, j'abandonne la bouche et descend sur son cou, vers les seins... Premier contact avec un bout durcit. Doucement ! Le mot murmuré a jailli de sa bouche pour protéger sa jeune poitrine. Les seins sont devenus lourds et fermes. Les pointes arrogantes, se dressent.
En bas ma main explore, palpe, tâte, tâtonne encore. Elle joue et apprend. Elle glisse dans un univers de plus en plus chaud et humide. elle me rassure. Elle reprend son souffle et teste la vigueur de mon désir. Là ? Comme ça ? Ma pudeur, ma timidité reprennent un instant le dessus... Elle me rassure, se fait enjôleuse, câline, amoureuse...
Puis elle s'ecarte de moi, ouvre le lit s'y installe en me fixant toujours du regard, comme une invitation, un appel. Je la rejoins, Me voilà nu contre elle ... Mon sexe est raide, tendu, excité, tressaillant. Son regard remonte vers mes yeux. C'est elle qui quémande un baiser Je sens le contact de ses seins, glissant sur ma poitrine. Je glisse sur elle, le feu a pris naissance entre nos jambes. Nos corps sont l'un contre l'autre, presque à s'emboîter. Nous avons chaud.
D'un simple regard brillant, elle me signifie qu'elle est prête, qu'elle m'attend... Et c'est moi qui recule, tergiverse ? Mes doigts et ma main repartent en exploration. je sens que son corps se tend, son ventre se bombe à la recherche du mien, les cuisses s'ouvrent et se ferment comme un appel. Elle s'ouvre, remonte légèrement les jambes et s'offre à moi... J'hésite encore ... puis me penche vers son visage que je sens soudain tendu, presque sérieux... et je vais, d'un doux et long baiser, cueillir ses lèvres. Ses mains se calent sur mes fesses et m'attirent vers elle. Elles sont chaudes, moites, tremblantes et troublantes... Elles appuient, m'incitent à m'avancer. Mon sexe est en contact avec le sien. Douceur d'un sexe feminin dejà ouvert et bien humide. Comme par enchantement il trouve le chemin. Délices de ce premier frôlement de mon corps intime avec le sien. Petite poussée, légère résistance, ses mains m'incitent à franchir le pas, aller plus loin. Je recommence, sous la poussée de mon instinct de mâle, mes hanches entament un va-et-vient. Lentement, mon sexe glisse en elle, et je goûte pleinement à la chaleur et la moîteur de son intimité chaude …. Son ventre me parait immense et insondable, Elle était comme extasiée, offerte, les jambes écartées. Elle frissonne doucement. Le mouvement de va-et vient, tout d’abord lent puis de plus en plus intense, la fait réagir … La jouissance arrive, je crois un moment perdre la tête. Nos corps sont pris simultanément de secousses convulsives qui nous mènent rapidement vers l'extase commune, presque immédiate. Ma sève chaude s’écoule dans son jardin secret… Mon débordement soudain en elle m'affole, mais c'est trop tard ! Déjà, je m'écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur. J'ai l'impression que cela n'a duré qu'une seconde, qu'une minute... la tête nichée dans son cou, reprenant ma respiration, mes esprits, je n'ose lui demander comment elle se sent. Dans un murmure un peu essoufflé, elle me supplie
- Vous restez avec moi ? ... Merci !
nous nous sommes serrés l'un contre l'autre, comme pour ne faire qu'un. Je m'en souviens comme si c'était hier.