Barbara se positionne doucement sur moi, me sourit.
Elle prend ma verge outrageusement bandée et la dirige entre ses grandes lèvres.
Je sens alors un étui chaud et humide qui l'entoure petit à petit, l'engloutit et la brûle.
Elle s'empale sur moi, doucement, interminablement, ralentit sa descente, la reprend.
Cette lente pénétration affole mes sens. La sensation est délicieuse, affolante.
Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait.
- Tu aimes ? me dit-elle simplement
Elle me sourit, savourant ses propres sensations et les miennes et se penche vers moi.
Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, les yeux à moitié fermés,
Elle s'agite, s'empale un peu plus, sur mon sexe qui se tend et s'allonge dans ses chairs.
Une penetration prodonde. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule.
Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse, s'applique, en jouant de mon corps.
Elle se donne du plaisir.
c'est suave, onctueux comme le doigt dans le beurre, nous sommes au paradis,
je sens ses legeres contractions sur les parois de ma verge prete à exploser.
le spectacle de ses seins ballottant au-dessus de moi me donnent vigueur !
Je bande au fond de son ventre, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée bien au fond,
nos ventres se frottent l'un contre l'autre.

Empalée à fond Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante,
puis se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus,
elle jouit, au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe
jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide !
Le doux clapotis de nos sexes emboités donne le signal
Je jouis à n'en plus finir au fond de son ventre par salves successives
et un immense sentiment de bien être m'envahit !
Une ultime envolée, nous touchons aux étoiles,
nos corps agités par de violents frissons,
nous mourons foudroyés, épuisés, l'un sur l'autre
Elle se redresse, ramasse ses affaires et sort de la chambre.
Je ne l'ai jamais revue