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samedi 06 juillet 2024 - 15h15rech / rep
-prost-02-assisealolga-kurylenko

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(taille reelle)
orgasme ()
Lorsque Marthe sentait chez moi l'explosion arriver, elle resserrait ses muscles de façon à bien me garder tout au fond de son corps. Elle devinait que j'étais sur le point de non retour. J'explosais presque aussitôt, tremblant et me figeant au fond d'elle. Je poussais un cri rauque, et mon premier jet venait frapper le fond de son ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. mes jambes tremblaient, pendant plusieurs secondes. Je la sentais alors jouir à son tour, emportée par le tourbillon de son plaisir, secouée par une succession de spasmes qui me faisaient hoqueter pendant de longues secondes, de violentes secousses lui traversaient les entrailles... Elle se mettait à trembler, se crispait et s'immobilisait toute, serrant ma virilité bandée entre ses muqueuses gourmandes. Elle clamait sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, avec une série de spasmes violents qui la désarçonnait. Elle se laissait emporter dans un long râle, se soulevait, se cambrait, comme tétanisée. vingt mille volts lui remontaient dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un véritable feu d’artifice qui me laissait pantois.
Elle se déchaînait, se mettait à crier, la bouche ouverte, haletante, Elle frissonnait, elle tremblait .....Tout son corps se mettait à vibrer. Elle partait ... envolée prodigieuse, elle criait, elle rugissait, comme une longue plainte sauvage. Elle se cambrait frénétiquement en poussant, reins arqués, de longs râles de volupté. Elle se déhanchait, se tortillait, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sentais ses contractions, ses mains griffaient les draps, ses jambes ne lui obéissaient plus!
Elle halètait bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. la sueur lui perlait sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrapait les cheveux, me serrait la tête, elle jouissait longuement.

Puis elle s'abandonnait, se livrait aux flots qui l'absorbaient... Elle s'abîmait, sombrait, s'anéantissait... milles bulles éclataient. Nos spasmes finis, je sentais ma queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de sa vulve dégoulinante, libérant un flot de semence. Je mettais un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. J'étais affaissé contre son corps, épuisé. Elle était aussi épuisée que moi. Nous nous regardions sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là, à tant de jouissance partagée. Nous restions un moment immobiles, imbriqués l'un contre l'autre. Je sentais un liquide poisseux se répandre entre nos fesses et sur nos cuisses que je serrai, par pur réflexe. elle me serra fort contre elle, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Je me rhabillai en hâte, sans mot dire et, après avoir baisé ses lèvres avec une infinie tendresse, je me glissai hors de chez elle, lui donnant un nouveau rendez-vous un jour de la semaine