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samedi 06 juillet 2024 - 14h31rech / rep
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(taille reelle)
délices d'une douce fellation ()
Lucie voulait me faire gouter les délices d'une douce fellation. Elle se laissa couler le long de mon corps, le caressant de ses lourdes pitrines. sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait mes bourses. Le souffle chaud de ma divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de mon sexe.
Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer ma muqueuse Les spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est tout mon sexe en entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Je sentais la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes qui s'etalaient sur mon torse. De ses lèvres distendues, elle sucait ma verge bandée au fond de sa bouche gourmande. Elle m'avalait, m'absorbait, lentement, tout doucement. Elle aspirait mon sexe avec un rare délice, je m'enfouissai dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. Je sentais mon sexe aspiré entre ses lèvres suçeuses, glisser dans sa douce moiteur buccale.
- Tu aimes ? me demanda-t'elle d'une voix absolument fondante
Un va et vient puissant, un glissement onctueux, une progression lourde, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle me sucait, m’aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle se donnait du plaisir, j'en gémissais de bonheur.
Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Mes tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts semblaient l'exciter au plus haut point. Mon sexe était tout luisant de sa salive, Les caresses de ma sublime maîtresse, m'avaient amené à la limite du cataclysme. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement, j'attrapai la tête de ma suçeuse pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard.
- Louise, Attention ! ... je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête de mes mains, enserra fortement la base de mon membre pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers moi.
- Mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge.
Et elle engloutit aussitôt le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur, trempant littéralement la peau de ses cuisses. Elle voulait se faire jouir immédiatement. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait mon dard accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche
- Louise ! ... Oh Louise ! ... Aaahhh !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, Lucie resserra ses lèvres à la base de mon gland pour ne rien perdre de ce nectar, ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de ma tige brûlante, encore dure dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper ma verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Lucie m'adressa un regard langoureux pour me remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Je recherchai mon souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, je regardai Lucie à mes genoux. Le visage de ma sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore mon sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme assouvie.