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samedi 06 juillet 2024 - 14h25rech / rep
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(taille reelle)
sensuellement ()
Elle prit une cuillere de confiture, et tout en me regardant fixement, l'enroula de sa langue et se mit à la suçer doucement. Elle la fit monter et descendre dans sa bouche gourmande, avec des bruits de succion terriblement erotiques, mon sang fut sous pression. Elle termina sa cuillere et se passa la langue sur ses lèvres pulpeuses.
Un peu de confiture lui restait aux commissures des lèvres, elle me demanda de lui retirer. J’approchais ma bouche de la sienne et lui nettoyais le reste avec ma langue. Elle ferma les yeux, un léger frisson la parcourut et elle me souria à son tour. Elle s’étira longuement comme un chat. Elle bailla à s’en décrocher la mâchoire. Puis elle posa ses lèvres sur les miennes. Ce fut le début de l'histoire ...
Lucie me regarda, les yeux brillants avec un sourire étrange.
- Tu regardes mes seins ? ils te plaisent ?
- Dis-moi ! Est-ce que j'te plais ?
Ses seins tremblaient doucement dans l'echancrure de son corsage, je sentais son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Elle posa sa main sur la mienne comme pour m'inciter à la caresser. Elle se pencha et ses seins s'epanouisserent devant moi. J'étais totalement sous son emprise. Elle semblait s’en amuser. Ses seins bougeaient légèrement au rythme de sa respiration. Elle me provoquait. Elle resta froidement devant moi poitrine nue. Les seins tombaient à peine, beaux, massifs, gonflés et les pointes saillant fortement. Elle me prit dans les yeux:
- Approche ! .... Tu es là devant moi ... et je mouille !
Il faisait chaud. je ne crois pas que cela provenait de la température. Nous sommes restés un long moment face à face, sans parler. Puis elle m'apostropha:
- Alors ? on fait quoi ? ... On reste là ?

Elle s'ecarte alors et s'affale sur sa chaise, jambes écartées, indécente presque, elle degage les pans de son peignoir et me devoile son jardin secret, vulve outrageusement ouverte. Elle me fixe, elle me provoque. Je n'en peux plus.
Je m'approche, nos lèvres se frôlent, se touchent, s'entrouvrent. Presque timidement, sa langue s'immisce dans ma bouche. nos bouches s'ecrasent, se suçent, nos langues se nouent éperdument .... Mon pantalon se tend, à l'extrême, comme un chapiteau. J'ai chaud. Ma respiration s'accélére. Je la sens terriblement excitée. Je l'entends gémir doucement. Elle pose sa main sur mon appareil génital.
- Tes bourses sont pleines ! Et je suis toute ouverte !
Puis elle detache ma ceinture et libere mon sexe qui se lève d'un coup face à elle
- Je suis chaude ! ... et trempée ! Viens vite !
Elle se saisit de ma verge, glisse mon gland sur sa fente déjà bien ouverte. Ses yeux se ferment, Je sens son sexe s'ouvrir un peu plus. Lentement, je sens ma queue aspirée entre ses grandes lèvres. Son ventre est chaud, comme un cocon, c'est terriblement agreable. Ma verge glisse en elle, entre ses muqueuses distendues. Je saisis ses seins, je les palpe, les masse. elle s'abandonne à mes attouchements. je sens son vagin qui se contracte autour de mon penis, en émettant un bruit de succion terriblement érotique. Son vagin dégouline sur mon membre et sur mes bourses. Le fauteuil est taché de nos sécrétions. Je glisse dans un étui chaud et humide, tel un poulpe, son ventre me pompe, me lisse, aspire ma verge gorgée de sang, l'engloutit et la brûle. Je suis ivre, je tremble. Je brûle. La sensation est profonde, sensuelle, humide. La langueur de ce contact chaud et vivant dans ma bouche et autour de mon sexe me perd dans une béatitude mystique. Elle me donne ses levres en regardant les miennes tout en m'aspirant dans ses chairs. Elle a les yeux fermés, est absente, Nos lèvres se rejoignent. Quel baiser ! Oh ! Quel baiser ! Ses levres contre les miennes s’écrasent l’une contre l’autre, nos langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent. C'est soyeux, le baiser est profond. Nos langues se tordent, se mêlent et s'emmêlent, nos salives se mélangent. Le baiser est long. nos bouches se soudent.
Avec délice, je vais et je viens dans ses chairs chaudes. Je la regarde jouir, Ces pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de mon mat, l'enveloppant, comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation est affolante. Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Ses mouvements déplacent mon sexe dans son ventre.
Sa respiration s'accélère. Notre baiser se prolonge, nous varions la pression de nos langues, de nos caresses. Elle me sent l'envahir. Elle s’abandonne. Je m'enfonce dans son ventre, profondément, goutant ses succions intimes. Elle pends mon visage et l'attire vers le sien. Nos tempes claquent, la chaleur monte en nous comme une sève brûlante. Elle râle de plus en plus. Je me retiens .... Elle me lèche les lèvres, le cou, puis m'embrasse fievreusement. Sa langue me fouille jusqu'à la gorge. Sa poitrine bat avec force. Ses mains me caressent, me griffent, m'enveloppent de leur désir. Nous dérivons ensemble, encastrés, emmêlés... Sa langue mouillée dans mon oreille. Elle cède à la volupté, ne cherche plus à se contrôler. Elle s'offre à mon corps, à nos sens ! Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations, Je n'en peux plus. Je pétris ses seins et je la bourre de plus en plus puissamment, accompagné de halètements, de mouvements incontrôlés, de doux frissons, et d'une envie grandissante l'un de l'autre. Nous nous dévorons sans retenue à l'appel de nos sens.
Un dernier coup de rein, je n'en peux plus Je me plante au plus profond d'elle et .... je gicle en elle ma semence. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles provoque sa jouissance. Elle s'écroule en sueur.
En me retirant, ma queue émet un délicieux bruit de siphon. Elle reste là, les cuisses écartées, béante. elle est ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, mais oh combien desirable. Elle relève la tête, me regarde dans les yeux d'un regard trouble Elle m'a senti glisser hors d’elle et n'a rien fait rien pour me retenir. Je me rapproche je pose mon sexe sur le sien, je le pousse ... un peu, le ressort, c'est le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs rosées, elle pousse un gros soupir quand j'arrive au fond, je fais durer le plaisir, j'accélère, je n'en peux plus ! elle jouit soudain Je ne tiens plus ! je fuse, je me vide, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi,