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Paul Edgecomb, pensionnaire centenaire d'une maison de retraite, est hanté par ses souvenirs. Gardien-chef du pénitencier de Cold Mountain, en 1935, en Louisiane, il était chargé de veiller au bon déroulement des exécutions capitales au bloc E (la ligne verte) en s'efforçant d'adoucir les derniers moments des condamnés. Parmi eux se trouvait un colosse du nom de John Coffey, accusé du viol et du meurtre de deux fillettes.
TELERAMA
En Louisiane en 1935, Paul Edgecomb est le surveillant-chef consciencieux du quartier des condamnés à mort du pénitencier de Cold Mountain. Un jour, on lui confie John Coffey, un géant noir, condamné pour le viol et le meurtre de deux fillettes. Sous sa stature impressionnante, Coffey cache un coeur d'enfant, une gentillesse rare, mais aussi d'extraordinaires pouvoirs, qu'il met bientôt au service de ses codétenus et du personnel pénitentiaire. Edgecomb se demande comment un homme si doux, incapable de tuer une mouche, a pu violer et tuer deux gamines. Le seul à ne pas se poser de questions est Percy Wetmore, un gardien cruel et lâche, qui rêve de procéder lui-même à une exécution...
le livre:
Une rencontre entre un agent immobilier et un agent littéraire est à l'origine du nouveau défi relevé par Stephen King : l'écriture d'un roman feuilleton à la Dickens. Le héros en est un ancien gardien chef d'un pénitencier de Louisiane, qui entreprend de livrer ses mémoires de la maison où s'écoule sa retraite.
Il revient sur l'affaire John Caffey, ce géant noir au regard absent condamné à mort pour le viol et le meurtre de petites jumelles qui défraya la chronique dans les années 30. Tout est là : la voix sym-pathique du narrateur, la plongée dans le quotidien de l'univers carcéral vu côté gardiens (Stephen King avait déjà abordé l'univers carcéral dans une nouvelle du recueil Différentes Saisons), l'étrangeté de certains détails récurrents, le malaise engendré par les comportements bizarres de personnages inquiétants...
Après une telle mise en place, la mention " A suivre " est dure à avaler. Il faudra attendre le 25 avril pour lire Mister Jingles (c'est une souris), un mois de délai étant requis entre chacun des six (voire plus) épisodes promis par l'auteur aux lecteurs des huit pays dans lesquels paraît simultanément ce récit. La Ligne verte du titre est celle de la couleur du lino du couloir menant à la mort.
TELERAMA
En Louisiane en 1935, Paul Edgecomb est le surveillant-chef consciencieux du quartier des condamnés à mort du pénitencier de Cold Mountain. Un jour, on lui confie John Coffey, un géant noir, condamné pour le viol et le meurtre de deux fillettes. Sous sa stature impressionnante, Coffey cache un coeur d'enfant, une gentillesse rare, mais aussi d'extraordinaires pouvoirs, qu'il met bientôt au service de ses codétenus et du personnel pénitentiaire. Edgecomb se demande comment un homme si doux, incapable de tuer une mouche, a pu violer et tuer deux gamines. Le seul à ne pas se poser de questions est Percy Wetmore, un gardien cruel et lâche, qui rêve de procéder lui-même à une exécution...
le livre:
Une rencontre entre un agent immobilier et un agent littéraire est à l'origine du nouveau défi relevé par Stephen King : l'écriture d'un roman feuilleton à la Dickens. Le héros en est un ancien gardien chef d'un pénitencier de Louisiane, qui entreprend de livrer ses mémoires de la maison où s'écoule sa retraite.
Il revient sur l'affaire John Caffey, ce géant noir au regard absent condamné à mort pour le viol et le meurtre de petites jumelles qui défraya la chronique dans les années 30. Tout est là : la voix sym-pathique du narrateur, la plongée dans le quotidien de l'univers carcéral vu côté gardiens (Stephen King avait déjà abordé l'univers carcéral dans une nouvelle du recueil Différentes Saisons), l'étrangeté de certains détails récurrents, le malaise engendré par les comportements bizarres de personnages inquiétants...
Après une telle mise en place, la mention " A suivre " est dure à avaler. Il faudra attendre le 25 avril pour lire Mister Jingles (c'est une souris), un mois de délai étant requis entre chacun des six (voire plus) épisodes promis par l'auteur aux lecteurs des huit pays dans lesquels paraît simultanément ce récit. La Ligne verte du titre est celle de la couleur du lino du couloir menant à la mort.
