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l'art par la musique

BILINSKA (Anna), a la fenetre 1890 - MOODY BLUES, night of white satin

(taille reelle)
Anna BILINSKA - a la fenetre 1890
Anna Bilinska est la première peintresse polonaise à avoir acquis une stature internationale à une époque où les obstacles qui se dressaient devant elle étaient presque infranchissables. D'une farouche détermination, se moquant des codes sociaux qui interdisaient à une jeune fille de bonne famille de s'engager dans une carrière artistique professionnelle, elle parvint à surmonter toutes les épreuves, notamment graçce à l'aide indéfectible d'une poignée de femmes de son entourage. Brisée par d'irréarables pertes, sans argent, elle réussit néanmoins à revenir au combat pour acquérir cette reconnaissance tant méritée. De Paris à Londres, en passant bien sur par Varsovie, elle sut conquérir les critiques aussi bien que le public, graçce à des stratégies précises qui ne dépareraient pas aujourd'hui. Hélas, sa mort préaturée à l'aube de ses quarante ans mit fin à ses ambitions et elle fut oubliée, même en Pologne.

Illustration musicale: MOODY BLUES - night of white satin
Le membre du groupe Justin Hayward a écrit et composé la chanson à 19 ans lors d'une tournée en Belgique et a intitulé la chanson après qu'une petite amie lui ait offert des draps en satin . La chanson elle-même était l'histoire d'un amour lointain, ce qui conduit de nombreux aficionados à la qualifier d'histoire d' amour non partagé endurée par Hayward. Hayward a déclaré à propos de la chanson: "C'était juste une autre chanson que j'écrivais et je pensais que c'était très puissant. C'était une chanson très personnelle et chaque note, chaque mot qu'elle contient signifie quelque chose pour moi et j'ai trouvé que beaucoup d'autres personnes ont ressenti la même chose à ce sujet."

Nights in white satin
Never reaching the end
Letters I've written
Never meaning to send

Beauty I'd always missed
With these eyes before
Just what the truth is
I can't say anymore

'Cause I love you
Yes I love you
Oh, how I love you

Gazing at people
Some hand in hand
Just what I'm going through
They can't understand

Some try to tell me
Thoughts they cannot defend
Just what you want to be
You will be in the end

And I love you
Yes I love you
Oh, how I love you
Oh, how I love you

Nights in white satin
Never reaching the end
Letters I've written
Never meaning to send

Beauty I'd always missed
With these eyes before
Just what the truth is
I can't say anymore

Yes I love you
Oh, how I love you
Oh, how I love you
Yes I love you
Yes I love you
Oh, how I love you
Oh, how I love you

Breathe deep the gathering gloom
Watch lights fade from every room
Bed sitter people look back and lament
Another days useless energy spent

Impassioned lovers wrestle as one
Lonely man cries for love and has none
New mother picks up and suckles her son
Senior citizens wish they were young

Cold hearted orb that rules the night
Removes the colors from our sight
Red is gray and yellow white
But we decide which is right
And which is an illusion