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   .. / la ville
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Dans cette rue,
au coeur de la ville magique
Où des orgues moudront
des gigues dans les soirs,
Où les cafés auront
des chats sur les dressoirs
Et que traverseront
des bandes de musique.
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Paul Verlaine, Jadis et Naguère, 1885
20050123 DSCF3452.JPG (E)
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Dans cette rue,
au coeur de la ville magique
Où des orgues moudront
des gigues dans les soirs,
Où les cafés auront
des chats sur ...

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du haut de ma mansarde,
Je verrai l’atelier
qui chante et qui bavarde;
Les tuyaux, les clochers,
ces mâts de la cité,
Et les grands ciels
qui font rêver d’éternité.
...

Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1861
20050123 DSCF3473.JPG (E)
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du haut de ma mansarde,
Je verrai l’atelier
qui chante et qui bavarde;
Les tuyaux, les clochers,
ces mâts de la cité,
Et les grands ...

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Tournez, tournez, bons chevaux de bois,
Tournez cent tours, tournez mille tours,
Tournez souvent et tournez toujours,
Tournez, tournez au son des hautbois.
...

Paul Verlaine, Romances sans paroles
20050507 DSCN5397@ (E)
Tournez, tournez, bons chevaux de bois,
Tournez cent tours, tournez mille tours,
Tournez souvent et tournez toujours,
Tournez, tournez au son des hautbois.
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Et ce Londres
de fonte et de bronze,
mon âme,
Où des plaques de fer
claquent sous des hangars,
...
Où des bêtes d’ennui
bâillent à l’heure Dolente
immensément,
qui tinte à Westminster.
...
Et ces quais infinis
de lanternes fatales,
Parques dont les fuseaux
plongent aux profondeurs,
...
Emile Verhaeren, Les soirs
20070302DSCF4166@ westminster (E)
Et ce Londres
de fonte et de bronze,
mon âme,
Où des plaques de fer
claquent sous des hangars,
...
Où des bêtes d’ennui ...

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Les rues en diamants
et leur soyeux pavage,
Comme des serpentins
lâchés des toits obscurs,
Glissent, de pas en pas,
le long de mers de murs,
Tapissés du soleil
de vitrine en voyage.
...

Francis Etienne Sicard - Londres - Lettres de soie rouge, 2011
20070304DSCF4285 portobello (E)
Les rues en diamants
et leur soyeux pavage,
Comme des serpentins
lâchés des toits obscurs,
Glissent, de pas en pas,
le long de mers de murs,

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L’ivoire du matin
comme un voile en satin,
Repose sur les toits
de la ville endormie
Que des oiseaux de jais
pillent par colonie,
Dans un tiède silence
au turgide câlin.
...

Francis Etienne Sicard, Lettres de soie rouge, 2011
20071107-0048-P1040322 pekin - cite interdite - toits dans la brume (E)
L’ivoire du matin
comme un voile en satin,
Repose sur les toits
de la ville endormie
Que des oiseaux de jais
pillent par colonie,
Dans un tiè ...

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Du fond des brumes,Là-bas,
avec tous ses étages
Et ses grands escaliers
et leurs voyages
Jusques au ciel,
vers de plus hauts étages,
Comme d’un rêve,
elle s’exhume.
la ville
...

Emile Verhaeren - la ville
20071108-0355-P1040616@ pekin - colline au charbon et ville moderne (E)
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Du fond des brumes,Là-bas,
avec tous ses étages
Et ses grands escaliers
et leurs voyages
Jusques au ciel,
vers de plus hauts éta ...

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Leurs brouettes et leurs charrettes
Trinqueballent aussi,
Cassant, depuis le jour levé,
Les os pointus du vieux pavé :
Quelques-unes, plus grêles que squelettes,
Entrechoquent des amulettes
À leurs brancards,
D’autres grincent, les airs criards,
Comme les seaux dans les citernes ;
D’autres portent de vieillottes lanternes.
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Émile Verhaeren - Les Campagnes hallucinées
20071111-0492-P1050724@ pekin - demenagement a velo (E)
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Leurs brouettes et leurs charrettes
Trinqueballent aussi,
Cassant, depuis le jour levé,
Les os pointus du vieux pavé :
Quelques-unes, plus gr& ...

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Elles retentissent dans mes veines
Me collent à la peau
Je ne pourrai me passer
D’être foncièrement :
Urbaine.

Andrée Chedid - le chant des villes
Poème inédit commandé par le Printemps des Poètes 2006
20080517P1080040 paris - champs elysees (E)
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Elles retentissent dans mes veines
Me collent à la peau
Je ne pourrai me passer
D’être foncièrement :
Urbaine.

Andr&eacut ...

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Prends ma main. Voyageur,
et montons sur la tour
Regarde tout en bas,
et regarde à l’entour
Regarde
jusqu’au bout de l’horizon,
regarde
Du nord au sud.
Partout où ton oeil se hasarde,
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Alfred de Vigny, Poèmes antiques et modernes
20080712P1080716 paris - trocadero et defense vus depuis la tour eiffel (E)
Prends ma main. Voyageur,
et montons sur la tour
Regarde tout en bas,
et regarde à l’entour
Regarde
jusqu’au bout de l’horizon,

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Du ciel gris, l’herbe jaune et sèche qui se pèle
Semble un front dévoré par un érésipèle;
Car c’est là que, toujours las de voir empirer
Son destin, l’ouvrier captif vient respirer

Et que la jeune fille heureuse, en mince robe,
Laissant errer son clair sourire, où se dérobe
Quelque rêve secret de ménage et d’amour,
Avec ses yeux brûlants vient boire un peu de jour!

Théodore de Banville, Dans la fournaise, 1892





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Les parcs éblouissants, ces jardins de Paris
Où pour nous réjouir, en leurs apothéoses
Brillent les coeurs sanglants et fulgurants des roses;
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Théodore de Banville, Dans la fournaise, 1892



20080712P1080763a paris - tour eiffel (E)
Du ciel gris, l’herbe jaune et sèche qui se pèle
Semble un front dévoré par un érésipèle;
Car c’est là q ...

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Milan - le Duomo


Je suis une antique gargouille
Logée au sommet d'un clocher.
Je ne sais qui vînt m'y percher...
Mes souvenirs, le temps les brouille.
Sous moi, très bas, la foule grouille.
De mon haut je la vois marcher...
...

Jean de la Ville de Mirmont (1886-1914)
20080723P1090369a@@ (E)
Je suis une antique gargouille
Logée au sommet d'un clocher.
Je ne sais qui vînt m'y percher...
Mes souvenirs, le temps les brouille.
Sous moi, tr&egra ...

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Sur la petite place, au lever de l’aurore,
Le marché rit joyeux, bruyant, multicolore,
Pêle-mêle étalant sur ses tréteaux boiteux
Ses fromages, ses fruits, son miel, ses paniers d’oeufs,
Et, sur la dalle où coule une eau toujours nouvelle,
Ses poissons d’argent clair, qu’une âpre odeur révèle.

Albert Samain, Aux flancs du vase
P1000275 rennes - le marche en hiver (E)
Sur la petite place, au lever de l’aurore,
Le marché rit joyeux, bruyant, multicolore,
Pêle-mêle étalant sur ses tréteaux boiteux

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Tous ces râclements de voix
Huilent l’air dès les premières lueurs
Les trétaux éventrent le froid
De leurs pieds d’acier sans douceur

Des confins du lourd sommeil
Se déplient les jambes engourdies
Qui s’agitent entre les corbeilles
De légumes replets et de fruits

Des regards soupèsent le temps
Les premiers mots tanguent en surface
La gueule des camions géants
S’étire renifle à même l’espace
...

Didier Venturini - le marché 1996
P1000275@ rennes - le marche en hiver (E)
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Tous ces râclements de voix
Huilent l’air dès les premières lueurs
Les trétaux éventrent le froid
De leurs pieds d&rsquo ...

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Ici, sous de grands toits où scintille le verre,
La vapeur se condense en force prisonnière :
Des mâchoires d’acier mordent et fument ;
De grands marteaux monumentaux
Broient des blocs d’or sur des enclumes,
Et, dans un coin, s’illuminent les fontes
En brasiers tors et effrénés qu’on dompte.
...

Emile Verhaeren, Les villes tentaculaires
P1020817@a (E)
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Ici, sous de grands toits où scintille le verre,
La vapeur se condense en force prisonnière :
Des mâchoires d’acier mordent et fument ;

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Dans le vieux parc solitaire et glacé,
Des spectres ont évoqué le passé.
...
Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Et la nuit seule entendit leurs paroles.

Paul Verlaine, Fêtes galantes








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Dans le vieux parc solitaire et glacé,
Des spectres ont évoqué le passé.
- Te souvient-il de notre extase ancienne ?
- Pourquoi voulez-vous donc qu’il m’en souvienne ?
- Ton coeur bat-il toujours à mon seul nom ?
Toujours vois-tu mon âme en rêve ? - Non.
- Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignons nos bouches ! - C’est possible.
- Qu’il était bleu, le ciel, et grand, l’espoir !
- L’espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.
Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Et la nuit seule entendit leurs paroles.

Paul Verlaine, Fêtes galantes
P1030671 paris en hiver (E)
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Dans le vieux parc solitaire et glacé,
Des spectres ont évoqué le passé.
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Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Et la ...

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Gaines de chêne et bornes d’ombre,
Cercueils scellés dans le mur froid,
Vieux os du temps que grignote le nombre,
Les horloges et leur effroi ;
Les horloges
Volontaires et vigilantes,
Pareilles aux vieilles servantes
...

Emile Verhaeren, Les bords de la route
P1060272@a (E)
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Gaines de chêne et bornes d’ombre,
Cercueils scellés dans le mur froid,
Vieux os du temps que grignote le nombre,
Les horloges et leur effroi ...

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Ici, sous de grands toits où scintille le verre,
La vapeur se condense en force prisonnière :
Des mâchoires d’acier mordent et fument ;
De grands marteaux monumentaux
Broient des blocs d’or sur des enclumes,
Et, dans un coin, s’illuminent les fontes
En brasiers tors et effrénés qu’on dompte.
...

Emile Verhaeren - les usines
P1060946@ (E)
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Ici, sous de grands toits où scintille le verre,
La vapeur se condense en force prisonnière :
Des mâchoires d’acier mordent et fument ;

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Tu es venue le feu s’est alors ranimé
L’ombre a cédé le froid d’en bas s’est étoilé
Et la terre s’est recouverte
De ta chair claire et je me suis senti léger

Tu es venue la solitude était vaincue
J’avais un guide sur la terre je savais
Me diriger je me savais démesuré
J’avançais je gagnais de l’espace et du temps

J’allais vers toi j’allais sans fin vers la lumière
La vie avait un corps l’espoir tendait sa voile
Le sommeil ruisselait de rêves et la nuit
Promettait à l’aurore des regards confiants

Les rayons de tes bras entrouvraient le brouillard
Ta bouche était mouillée des premières rosées
Le repos ébloui remplaçait la fatigue
Et j’adorais l’amour comme à mes premiers jours.

Les champs sont labourés les usines rayonnent
Et le blé fait son nid dans une houle énorme
La moisson la vendange ont des témoins sans nombre
Rien n’est simple ni singulier

La mer est dans les yeux du ciel ou de la nuit
La forêt donne aux arbres la sécurité
Et les murs des maisons ont une peau commune
Et les routes toujours se croisent.

Les hommes sont faits pour s’entendre
Pour se comprendre pour s’aimer
Ont des enfants qui deviendront pères des hommes
Ont des enfants sans feu ni lieu

Qui réinventeront les hommes
Et la nature et leur patrie
Celle de tous les hommes
Celle de tous les temps.

Paul Eluard
P1060996@@.JPG (E)
Tu es venue le feu s’est alors ranimé
L’ombre a cédé le froid d’en bas s’est étoilé
Et la terre s’est recou ...

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Ma demeure est haute,
Donnant sur les cieux ;
La lune en est l’hôte,
Pâle et sérieux :

En bas que l’on sonne,
Qu’importe aujourd’hui
Ce n’est plus personne,
Quand ce n’est plus lui !
...

Marceline Desbordes-Valmore, Elégies
P1080545 amsterdam - a la fenetre (E)
Ma demeure est haute,
Donnant sur les cieux ;
La lune en est l’hôte,
Pâle et sérieux :

En bas que l’on sonne,
Qu’impor ...

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Sydney Apple Store - sortie de l'Ipad 2


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La magicienne alors entre de scène en scène
Soulevant les rideaux dont les tons de charmilles
Font frissonner la ville aux plaisirs des mécènes.

Francis Etienne Sicard, Lettres de soie rouge, 2011
P1090088@ sydney - apple store (E)
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La magicienne alors entre de scène en scène
Soulevant les rideaux dont les tons de charmilles
Font frissonner la ville aux plaisirs des méc&egr ...

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Un fleuve de naphte et de poix
Bat les môles de pierre et les pontons de bois;
Les sifflets crus des navires qui passent
Hurlent la peur dans le brouillard:
Un fanal vert est leur regard
Vers l’océan et les espaces.
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Emile Verhaeren - la ville
P1100153@ hong-kong - aberdeen le port les tours (E)
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Un fleuve de naphte et de poix
Bat les môles de pierre et les pontons de bois;
Les sifflets crus des navires qui passent
Hurlent la peur dans le brouillar ...

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Les cloîtres anciens sur leurs grandes murailles
Etalaient en tableaux la sainte Vérité,
Dont l’effet réchauffant les pieuses entrailles,
Tempérait la froideur de leur austérité.
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Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal
P1110298@ roque d antheron - abbaye - dortoir (E)
Les cloîtres anciens sur leurs grandes murailles
Etalaient en tableaux la sainte Vérité,
Dont l’effet réchauffant les pieuses entrailles, < ...

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Des roses sur la mer, des roses dans le soir.
Un songe évocateur tient mes paupières closes.
J’attends, ne sachant trop ce que j’attends en vain,
Devant la mer pareille aux boucliers d’airain,

Et te voici venue en m’apportant des roses…
Ô roses dans le ciel et le soir ! Ô mes roses !
...

Renée Vivien, Evocations
P1110516 rome fontaine de trevi (E)
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Des roses sur la mer, des roses dans le soir.
Un songe évocateur tient mes paupières closes.
J’attends, ne sachant trop ce que j’attends e ...

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Les hauts talons luttaient avec les longues jupes,
En sorte que, selon le terrain et le vent,
Parfois luisaient des bas de jambes, trop souvent
Interceptés ! - et nous aimions ce jeu de dupes.

Parfois aussi le dard d’un insecte jaloux
Inquiétait le col des belles sous les branches,
Et c’étaient des éclairs soudains de nuques blanches,
Et ce régal comblait nos jeunes yeux de fous.

Le soir tombait, un soir équivoque d’automne :
Les belles, se pendant rêveuses à nos bras,
Dirent alors des mots si spécieux, tout bas,
Que notre âme depuis ce temps tremble et s’étonne.

Paul Verlaine, Fêtes galantes
P1110688@@a (E)
Les hauts talons luttaient avec les longues jupes,
En sorte que, selon le terrain et le vent,
Parfois luisaient des bas de jambes, trop souvent
Interceptés ! - e ...

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À la fin tu es las de ce monde ancien
Bergère ô tour Eiffel
le troupeau des ponts
bêle ce matin
...

Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913
P1130180a paris@ - vu de la terrasse de meudon (E)
À la fin tu es las de ce monde ancien
Bergère ô tour Eiffel
le troupeau des ponts
bêle ce matin
...

Guillaume Apollinaire, Alco ...

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Adeline Serpillon appartenait
à cette écrasante majorité des mortels
qu’on n’assassine pratiquement pas.
Elle n’avait pas d’argent, pas d’amour,
pas de haine, pas d’attraits.
Ses convictions politiques
l’amenaient à conspuer doucement
les augmentations du prix du gaz,
rarement au-delà.
Elle était moyenne avec intensité,

Pierre Desproges - des femmes qui tombent
P1140185 boulogne maison sur l eau (E)
Adeline Serpillon appartenait
à cette écrasante majorité des mortels
qu’on n’assassine pratiquement pas.
Elle n’avait pas d&rs ...

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Chatte blanche, chatte sans tache,
Je te demande, dans ces vers,
Quel secret dort dans tes yeux verts,
Quel sarcasme sous ta moustache.

Tu nous lorgnes, pensant tout bas
Que nos fronts pâles, que nos lèvres
Déteintes en de folles fièvres,
Que nos yeux creux ne valent pas

Ton museau que ton nez termine,
Rose comme un bouton de sein,
Tes oreilles dont le dessin
Couronne fièrement ta mine.

Pourquoi cette sérénité ?
Aurais-tu la clé des problèmes
Qui nous font, frissonnants et blêmes,
Passer le printemps et l’été ?

Devant la mort qui nous menace,
Chats et gens, ton flair, plus subtil
Que notre savoir, te dit-il
Où va la beauté qui s’efface,

Où va la pensée, où s’en vont
Les défuntes splendeurs charnelles ?
Chatte, détourne tes prunelles ;
J’y trouve trop de noir au fond.

Charles Cros, Le coffret de santal
P1160103a beaumesnil - chats aux fenetres (E)
Chatte blanche, chatte sans tache,
Je te demande, dans ces vers,
Quel secret dort dans tes yeux verts,
Quel sarcasme sous ta moustache.

Tu nous lorgnes, pensan ...

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Guernesey - lecture des news


La lecture et les réflexions sont à l'esprit
ce que les aliments sont au corps

Etienne François de Vernage ; Maximes et réflexions (1690)
P1200850 guernesey - st peters port lecture (E) (Atlas)
La lecture et les réflexions sont à l'esprit
ce que les aliments sont au corps

Etienne François de Vernage ; Maximes et réflexions (1690) ...

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L'intellectuel est quelqu'un
qui se mêle
de ce qui ne le regarde pas

Jean-Paul Sartre
P1200852 guernesey st-peters-port lecture (E)
L'intellectuel est quelqu'un
qui se mêle
de ce qui ne le regarde pas

Jean-Paul Sartre ...

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Les espèces qui survivent
ne sont pas les espèces les plus fortes,
ni les plus intelligentes,
mais celles qui s’adaptent le mieux
aux changements.

Charles Darwin
P1220091 st-jouan chat gentil (E)
Les espèces qui survivent
ne sont pas les espèces les plus fortes,
ni les plus intelligentes,
mais celles qui s’adaptent le mieux
aux change ...

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Longchamp - élégance au Prix de l'Arc de Triomphe


La grâce
entoure l'élégance,
et la revêt

Joseph Joubert ; De la politesse, CXVIII (1866)
france neuilly - longchamp prix arc de triomphe (E) (Atlas)
La grâce
entoure l'élégance,
et la revêt

Joseph Joubert ; De la politesse, CXVIII (1866) ...

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Les machines un jour
pourront résoudre tous les problèmes,
mais jamais aucune d'entre elles
ne pourra en poser un !

Albert Einstein
la haye - sans parole (E)
Les machines un jour
pourront résoudre tous les problèmes,
mais jamais aucune d'entre elles
ne pourra en poser un !

Albert Einstein ...